The mainstream’s thought seem to know all answers about all. Perhaps because it doesn’t really listen to question. Quite never it goes to visit facts and share experiences. So, we are supposed to live in a society of communication, a society of information, a society of knowledge… We travel long time in that dogma and only find a society of refusal of communication. Idle idyls in talkings. Switches of com everywhere. We only cross a society of retention which let unformed all that inform, give us form. None pool resources: “their” communication deny any common (communication+put in common!). Not a human being a human having…The known own, all exclusive are exclusions. And only meet a society of « ignorance ». To make as if they don’t notice you exist. All acquaintances in quaintness. The way of not earning learning. To despise what you don’t know is to “ignore” (that’s ignorance !). The worst side of the refusal of knowledge. Elite elide it too much. So we decide to explain completly how does it function a s a society of anti-communication. With new ways of reasoning and many experiences . Book in suspense and of many surprises spreaded. At least, as if we were borers of boring out (the 1001 nights complex?)
La finance comme maladie Tous les jours, journaux, radios ou télés s'unifient, lorsqu'elles parlent des Bourses et circuits financiers, dans le choix de tels mots : crises de nerfs, affolements, hurlements, agitations, déséquilibres, vapeurs, hystéries, paniques, bouffées délirantes, exaltations, rumeurs, mimétismes, extravagances, frénésies irrationnelles, mais, aussi, "marchés hyperémotifs" qui ne font que des placements "aventureux" etc: alors que, pour les particuliers, les mêmes comportements sont décrits comme une "peste émotionnelle", une absence de contrôle qui vous dirige droit chez les psys, une immaturité qui repousse la confiance, une superficialité sans sagesse, une impossibilité de prise de décision raisonnable – ici, c'est un summum de savoirs qui "rapporte" tant d'être (ou de se montrer?) "affolé", de "tanguer" à la dérive, sans personne à la barre et sans boussole. Également - "on ne sait pas qui vend, qui achète et quels sont les montants des transactions" (des C.D.S. credit default swaps, contrats censés assurer l'acheteur d'un emprunt d'Etat contre tout risque de non-remboursement)- ce qui ressemble à la structure d'opacité du gangstérisme. Et reprend, tel quel, toujours plus irresponsablement, la monumentale divagation des subprimes. C.D.S. instruments de pures spéculations utilisés pour créer de la fausse panique et gonfler les inquiétudes sur un risque de défaut. Résultats: les difficultés des budgets des Etats augmentent sans aucun bénéfice collectif (les états se voient contraints de nourrir ces "parasites" au détriment du plus grand nombre). Le but suprême se profile comme "rassurer" les marchés (comme s'ils étaient divinités tutélaires à qui nous "devrions" de nombreux sacrifices: rappelons que ces "marchés" ne sont que des banques d'affaires et des fonds spéculatifs, pas des dieux mais que de piteux personnages!) ou les "calmer" à tout prix comme s'ils étaient des enragés exaltés. L'accumulation hallucinée de ces diagnostics (folie incontrôlable et opacité typique des gangsters) n'aboutit qu'à toujours plus de maladies, de "dangers boursiers et de déséquilibres financiers". Ces malades des nerfs, dans la même seconde, semblent crédités d'un savoir omniscient puisqu'ils "doutent de la capacité financière des Etats à assainir leurs budgets, qu'ils ont contribué à couler. Voire spéculent sur ces difficultés et enfoncent un peu plus ces Etats en leur faisant payer plus cher leurs emprunts." (extrait d'un journal écrit laissé, volontairement, sans précision de titre). Ce qui alignent le gangstérisme attitude, alliée à la folie inconsciente (scier la branche où vous êtes assis) et à l'hébétude de la dépendance (les Etats c'est "juste bon" à les aider, eux). En découlent les symptômes d'un monstrueux irréalisme, d'un égoïsme utopique, d'une irresponsabilité qui se montre dans le mépris antisocial pour leurs concitoyens. Mais si les médias constatent le chaos, amené par "les ennemis du genre humains" que sont les financiers, croyez-vous qu'il leur viendrait à l'idée de stopper l'épidémie (mise en quarantaine) de contrecarrer le "terrorisme financier" (mise sous contrôle par une tutelle ou une curatelle) ou de, plus simplement, fermer les bourses et autres "maladies financières graves" ? Médias et finances lequel rend l'autre fou ? A ne pas planquer ces perles d'euphémisations journalistiques lorsque les Bourses "attaquent" l'Europe (par des spéculations toujours aussi illégales, sur la Terre entière!). "D'où cette situation incroyable mais vraie: les Etats ont sauvé la finance à coup de milliers de milliards. 18 mois plus tard, ces finances utilisent ces mêmes fonds pour tenter de ruiner les peuples". Le dérangement règne donc dans ces têtes journalistiques : la finance a été et reste, viralement, prédatrice et parasitaire, soit le mot pour "très gangstérisée", non ? Le même journaliste va singer une colère vertueuse envers le minuscule délinquant. Ici, nous avons la plus haute délinquance possible sur Terre ; il ne trouve plus que du vocable inadéquat de b.d; "incroyable mais vraie" d'un laxisme suicidaire. Un enfant désarmé face à un raz de marée. D'une façon ou d'une autre, il s'agit de les "arrêter", les financiers : la finance trahira toujours, ne respectera jamais rien, n'a jamais eu la moindre parole, continuera à falsifier et tout truquer. Encore, utilisera vos fonds pour vous ruiner, tout est frauduleux chez elle, d'elle-même jamais ne se "réformera" (toutes "réinsertions" vouées à l'échec) ; irrécupérable finance, l'aider c'est s'anéantir, se tirer une balle dans la tête. Son autorégulation, en français courant, c'est "hors la loi", tout comme pas de règles ou "dérégulé" constituent le même mot, non régulier. Dans un contexte où Etats, médias et cultures lui abandonnent toutes latitudes pour détruire la planète, sans laisser passer, par exemple, les auteurs qui les "ringardisent" entièrement, tellement leurs activités sont "minables", pitoyables, incompétentes et sordides, dès que décrites.
Uniquement sur les mœurs, les people voudraient se faire croire « tendance », ouverts, en avance ou progressistes. Mais uniquement les mœurs. Puisque dès qu’il s’agit de l’économie, de la juste répartition des richesses, vous trouvez ces people franchement réactionnaires, vieux jeux, démodés, et, clairement, arriérés. Un extrait sur ces ringards ? Pour les médias dits de "gauche", en effet, " l'ordre libéral correspond en quelque sorte au bon sens (…) pour eux, gauche-droite ce ne sont plus des projets philosophiques fondamentalement opposés, ce sont juste des boutiques partisanes qui ne s'opposent plus mais ne différent que sur le saupoudrage d'un peu plus ou moins de social (p 77)" (…) Mais l'idée de ne serait-ce que réfléchir au libéralisme ne peut même plus atteindre leurs cerveaux frivoles (…) "Un projet radical qui mettrait en cause l'économie de marché ne correspond pas du tout à leur vision qui a même tendance à penser que c'est quand la gauche s'attache à ce type de projet qu'elle échoue (p 78)". N'est-ce pas l'illustration d'une descente permanente dans le "déni du réel" ? Le tout "tendance", tout n'est qu'une mode et nous ne vivrons que dans nos maisons de poupées, âreu, aurait-il détruit leurs cerveaux ? "Il y a cette idée que la gauche est engoncée, et que pour qu'elle ait une chance de revenir au pouvoir, il faut qu'elle entre dans la "modernité" libérale. La vision des journalistes dominants est une vision très parisienne, d'état-major, qui décrète qu'il n'y a pas d'alternative au marché et que le marché est plutôt une bonne chose (…) et ils évoluent dans un univers où le projet social, économique et philosophique des décideurs va de soi …Leur référence ce n'est pas du tout l'enquête sociale qui leur permettrait de mesurer les dégâts du libéralisme…Leur référence c'est la lecture des éditoriaux des autres (p 79)". Et ces plus que ploucs osent appeler cet enlisement dans la bêtise crasse du nom "d'élite"? Devant une telle chute hors du réel, la volonté de ne plus jamais savoir, de ne rien savoir, ne peut fonctionner qu'à coups de mauvaises volontés et s'étaler qu'en mauvaises fois. Le ridicule de leur fragilité mentale, alliée à un manque de fondation existentielle, esquisse une caricature burlesque du fanatisme. Scoop : les médias comble de fanatismes. Nous repérons bien ces insurgés contre le réel, ces barricadiers s'opposant à tout fait argumenté, ces émeutiers contre toute vérité : ce sont bien eux les fauteurs de troubles (qui surgissent lorsque tout est trouble). La volonté de ne pas savoir constitue la vraie "ignorance" : dédaigner, ne pas regarder, faire semblant de ne pas s'apercevoir, négliger et mépriser, être souillon et brouillon, forment socle de la pire "ignorance". La plus pernicieuse et toxique puisque le malheureux qui en est contaminé croit tout savoir. Et du haut de son aliénation "élitaire" juge et condamne tout le monde. Sans jamais rien savoir, ce qui ôte tout fondement à son jugement et le dévoile comme hystérie échevelée d'un effondré existentiel. La pire des "ignorances" se montre comme cette volonté de ne pas savoir, que pratiquent, à fond et en grand, la majorité des dirigeants (dirigeants c'est en tous domaines puisque politiques c'est gouvernants : capté?). Etes-vous au courant qu'un alcoolique qui "ignore" son addiction ne peut envisager de se soigner : défaut d'optique, tant qu'il n'a pu trouver l'angle d'incidence aucune incidence n'est possible ? Comment l'élite qui se délite peut-elle se présenter toute uniment contaminée sans s'en apercevoir ? Nous comprenons à quel point sont si faciles les solutions aux impasses financières actuelles, en pratiquant la topologie de l’économie…Une application (les systèmes de rotation) Le "taux multiplicateur", par exemple, d'appartenir au vocable "écartant", éloignant, excluant (l'intelligence qui se déguise de trop de mots inaccessibles n'en est plus!) se transforme en virevolte d'explication : lorsque, vers les années 1960, les salaires se recevaient en liquide, le "taux multiplicateur" se maintenait autour de 2. Puis les salaires ont été viré (que vous le vouliez ou non ) sur des comptes bancaires : le "taux multiplicateur" peut aller jusqu'à 6. Cela signifie, sommairement, que pour chaque euro reçu la banque en fait 6. Ce que l'on enseigne dans les universités "les dépôts font les crédits" (c'est votre argent qui est prêté!) ne rend pas vraiment compte de ce presque triplement du "taux multiplicateur", en moins de 50 ans. Alors prêt par argent scripturaire (vous est prêtée une ligne écrite vous rendez de l'argent réel) d'explication plus rationnelle ? Autre débat, mais il émerge fortement que tant que vous décrivez superficiellement (sans les pourquoi ou les téléologies de plus) vous aliénez les autres; Vous êtes nuisible! Tout revisiter. Décrire avec un autre regard reste beau comme la santé. Les moissons, de plus, peuvent être amples : la topologie de l'Economie devient, ainsi, après ce nouveau descriptif, une méthode obligatoire. Sa connaissance mettra fin à la métaphysique capitaliste (la pire des Religions!) se symptômisant dans cet "argent venu de nulle part": (masquant la prédation de l'économie réelle par des esprits irresponsables). Tout nouveau paradigme se vérifie en résolvant un certain nombre de problèmes lui préexistant. La topologie de l'Economie remet, immédiatement, du bon sens dans le fonctionnement de l'Economie. Rappelons ce mot très thérapeutique "d'économie" (ne pas dépenser, épargner) qui, par modérations et mesures, sait assurer toutes les prévoyances. Soigner par discernements. Ménager les ménages. La grâce de faire grâce en protégeant des coups et des calamités. Conserver le maximum de valeurs afin de vivre dans le respect de tout. La perversion capitaliste c'est l'inversion de toutes les valeurs. L'antonyme "d'économie" c'est "consommation" : tout est dit, négligences, gaspillages, irrespects, prédations, inattentions, dévastations, ruines etc. votre vie ne sera plus "épargnée", plus rien de prévu pour personne, les ménages ne seront plus ménagés etc. Bref un chaos inutile et que rien ne peut justifier. L'inversion capitaliste se pare de toutes les négativités: le capitalisme forme le nihilisme le plus ténébreux qui niera tout jusqu'au bout. Son fonctionnement s'exhibe à tout inverser : du magnifique mot "d'économie" qui fait grâce à tout et se place, lumineusement, du côté de la vie, il a interverti "dépenser", l'insensée et si gamine frivolité de tout saccager, dépouiller, ravager et dévaliser, sans se préoccuper des conséquences. Du côté de la mort : dépenser, consommer signent l'achèvement, la terminaison, la fin imprévoyante de tout. Le capitalisme s'est toujours tapi comme une barbarie masquée. Il est devenu indigne de soutenir cette mystification démasquée. Le capitalisme n'a plus aucun futur: inutile d'exagérer les prévenances, en l'accompagnant dans son inéluctable chute (il se sera toujours fait passer pour ce qu'il n'était pas avouant, comme la reine au berger, que nul ne pouvait l'aimer à visage découvert!). Afin de rester sain dans la déchéance collective d'adoration à cette hideur capitaliste, la géométrie nous économisa beaucoup de douleurs. Par exemple, ne démontre-t-elle pas, limpidement, que les pauvres sont les vrais créditeurs du système actuel. Ce phénomène demeure inaperçu du fait de l'apport infime de chacun-e dans l'amoncellement collectif. Le total, lui, est parlant. Par symétrie, les riches s'exhibent comme les vrais "débiteurs" du système : ils lui doivent tout ; au sens fort, c'est "tout" qu'ils lui "doivent". "L'argent-dette" (comme l'apprentissage en direct de "l'argent-puits-sans-fonds" dans les SELs –systèmes d'échanges locaux – donc les experts de la compréhension future de "l'argent"!) forment ces concepts de haute technicité (celle qui "ne coûtent rien" à la planète) ressemblant au futur. Vous êtes payé à la fin du mois: durant tout le mois votre patron (privé, collectivités territoriales etc) est bien votre "débiteur"(position qui diminue au fur et à mesure que s'écoule le mois). Pareillement, vous payez un loyer en début de mois, votre propriétaire reste très "débiteur" au début du mois (position qui diminue au fur et à mesure que s'écoule le mois).Tant d'autres systèmes encerclent le pauvre et, à chaque fois, il se montre comme le "créditeur" du système. Parce que, avec la somme que votre patron "ne vous paye pas" avant la fin du mois, il l'utilise dans le "système des rotations": l'argent tourne et génère des épis d'intérêts. Ces intérêts "servent" même à payer une partie des salaires alors que la "rotation" a été collective (la masse salariale) et qu'y apparaît que les pauvres ont été les grands "créditeurs". Le "système des rotations" se démasque, alors, comme le système des dissymétries permanente. Le capitalisme (ce piteux archaïsme de 13 ans d'âge mental) ne redistribue pas du tout une part des intérêts générés par l'argent qui tourne. Identiquement, les banques dévalisent le "coefficient multiplicateur" (qui se trouve dans les dépôts, les prêts et les manipulations d'écritures entre les deux). Tout cela n'est qu'un "effet de structure" et ne recèle aucune intelligence : ne pas "profiter" de la "dérive inhumaine" inscrite dans ce binarisme reste la vraie intelligence. Le capitalisme s'étale comme le système le plus bête qui puisse exister (courir après ce qui brille en cassant tout, alors que les trésors étaient drapés dans ce qui a été piétiné et qu'ils "valaient" 100 000 fois que la verroterie spéculative !)… Ce livre fourmille cde nouveaux raisonnements et d’inédites expériences. Une seule que nous intitulons « pourquoi l’intelligence ne peut être que contre le story telling » … En ces êtres "ultra-modernes" nul besoin de continuité, de l'archaïsme intolérable (puisque massivement d'usage" médiatique!") du "récit", de l'histoire (story telling) qui aveugle cent fois plus que ne dessille. Ces êtres fonctionnent en discontinuités : les "trous blancs", qu'un récit arriéré "reboucherait" si étourdiment, ne gênent absolument pas la pensée à l'âge quantique. De plus, les médias se sont, très largement, démasqués comme les ennemis de l'intelligence, des argumentaires objectifs comme de l'université désintéressée. Les médias c'est réacs et régressifs : qu'ils se planquent derrière les histoires prouve à quel point ils ne savent RIEN de la pensée . Le pot aux roses reste que, par pure facilité méthodologique, le savoir a été "divisé" en droit, chimie, sciences naturelles, génétique, topologie etc., mais en n'omettant jamais de se souvenir que la réalité ne connaît aucune de ces "divisions". La réalité, tout le temps et partout, mélange (et est à la fois) droit, histoire, sciences naturelles, biologie, mathématiques etc. Tous les savoirs indissolublement mêlés et rien ne peut les séparer : le "réalisme" est, obligatoirement, unitaire, métis, sensuel, transdisciplinaire, mélangeur, anticonformiste, holiste et fuit "l'intérêt trop individuel". Ne pas savoir cela signe votre fonctionnement hallucinatoire. Or, bingo, les médias ne fonctionnement que sur ces "divisions" irréelles. C'est un monde inversé, à l'envers, toujours dans la déraison, puisque le moins sachant, en 2 secondes, "juge" (grossièrement barbare) le travail de 20 ans d'un savant ; que le moins expérimenté "contrôle" l'expérience qu'il ne comprend même pas; que le corniaud étalé "note" le génie ; que l'inculture piétine, sans discernement, les connaissances "pour faire connaissance". Est-ce pour cela que les médias semblent vides, ennuyants sur le fond de n'être "que" diffamations de la vraie perspicacité, puisque sans maîtrise possible : juste des impulsions électriques, des sillages browniens, des clignotements lumineux ou des éclairs d'éclats vibrionnant - qui vous prennent bien plus qu'ils ne vous donnent. D'un vrai livre il vous reste beaucoup, de leurs défilements creux moins que rien. Se méfier, à fond, de toute personne qui vous "raconte des histoires" (story telling) : elle ne saura que vous faire chuter dans les médias-ennemis-de-toute-intelligence-donc-de-vous-aussi…Qui n'a pas assisté à un colloque, une conférence, une manifestation (ou n'a été partie prenante d'un de ces événements)- et n'a consulté, atterré, le compte (non)rendu médiatique, a compris que qui était absent n'a aucune chance d'y percevoir, même un pâle reflet, de ce qui s'y est réellement passé? Qui a su, habilement, faire parler le journaliste (et son dogme irrationnel "il faut que ça raconte une histoire"!), résout l'énigme "pourquoi les articles les plus longs ne concernent que des personnes qui ont si peu à dire?". Un être et sa complexe poly-activités, doublée de poly-engagements, n'est, en effet, pas réductible à "une histoire" (soit un continu "arbitraire" et farfelu posé sur sa trajectoire). Tandis que l'être uni-activital, mono-engagé, peut donner lieu à toutes les dérives d'un contenu continu "arbitraire" et futile…D'où scientifiques, penseurs, responsables associatifs, vrais écrivains ou authentiques artistes- sont, clairement, expulsés de l'orbe restreinte des médias ahuris. Le durcissement de la croyance (non démontrée) du "il faut que ça raconte une histoire" – a, ainsi, transformé l'esprit journalistique (cette idéologie devenue incapable des réelles investigations ou des enquêtes anti-idées reçues qui honorèrent cette profession) en un boulet d'incompréhensions têtues à traîner par les déjà surchargés esprits libres…Bref, "il faut que ça raconte une histoire" signe que vous êtes un(e) arriéré(e)… Tandis que, les "discontinus" (l'esprit ne raconte pas une histoire, mais tellement et en simultanée) forment les pionniers du futur " esprit de géométrie ", cette majestueuse aventure. Discontinu, en mathématiques, c'est la qualité "discrète", opposée à la quantité continue, puisque composée d'éléments séparés, répartis en plusieurs points non contigus de l'indénombrable en fait. Or, il faudra bien admettre que "nombre" eh bien! c'est "nombreux", qu'au final, les mathématiques restent très imprécises, floues ou nébuleuses. Du grossiste pas du tout détaillant : tous les détails lui échappent. Approximatif environnement: oh! c'est environ par là…Accepter, aussi, qu'il faille bien plus d'intelligence pour dé-chiffrer que pour chiffrer. Puisque l'impasse des maths reste leurs obligatoires "contextualisations" : par exemple, la pub "la rentrée moins chère" appelle un "par rapport à quand" : 1 an ou 10 ans (il y a 8 ans elle fut bien plus chère !), dans une indétermination trop grossière (ne pouvant "intégrer" aucun cas particulier!). Quantité n'apporte donc pas de précisions suffisantes : cela forme même la base des escroqueries politiques avec "le taux de chômage baisse", par exemple. Quel taux ; quelle liste de chômeur, combien d'exclus de ces comptes, où se trouve la probité d'un taux "unifié" et unifiant tous les comptages. L'info: t'es exclu lulu de l'exclu! Eh oui! comme nous vous chutez dans le flash de la brute si sale qui se cache dans la salle de montage des médias piteux. Ou encore, le "nous avons besoin de croissance" qui "omet" de souligner que cette "croissance" reste, majoritairement, destructions, décroissances des ressources et énergies non renouvelables, diminutions et déperditions. Que, de plus, cette "croissance" de 2010 est devenue, qualitativement, différente de celle de 1960: dans ce registre, la "croissance" baisse "tendanciellement" depuis les années 1980: comment pourrait-elle, ne serait-ce qu'une seule année croître depuis? Voyez avec les escrocs au pouvoir. De vos dérélictions actuelles vous en demeurez, étourdiment, coupables. Vous aviez des êtres hors du commun parmi vous: vous les avez, frivolement, (voir Arte) piétiné. Alors que (possédant l'esprit de géométrie) vous vous auriez pu vous extraire de cette ornière sans issue, et parvenez à l'abondance des solutions. En alimentaire, les gaspillages de production, vont de 40 % à 65 %, selon secteurs. En distribution, la fourchette semble assez identique. En industrie, détruire tout ce qui n'est pas renouvelable semble l'insurpassable délinquance : les délictueux dirigeants nuisent à quelle majorité de citoyens ? Délictueux dirigeants que nous ne trouvons pas dans "ces prisons uniquement faites pour les médias". Ne pas pratiquer "l'utilisation rationalisée" de ces gaspillages (avec pillages) en évitant les recyclages partout comme nouvelles bases du fonctionnement social – provient de cerveaux cramés par la quantité. Intensifier l'agriculture pour nourrir la démographie des populations qui augmentent (en 2009 : 1,2 milliard, vous vous rendez compte c'est milliard que ces 1 milliard 200 millions : preuve que l'actuelle agriculture très intensive ne "nourrit pas" la population!) demeure 1000 fois plus déraisonnable que d'éviter les 40 % à 65 % de gaspillages des productions et distributions. Clairon clair que l'agriculture très intensive c'est 40 % à 65 % de gaspillages et que le seul rationnel reste de lui tourner le dos. Adieu les gaspillages et vive l'agriculture du recyclage et de la taille humaine (celle qui ne gaspille pas!). Des pans entiers de raisonnements s'effondrent (le capitalisme c'est que de l'irrationnel, que des gaspillages qu'une planification raisonnée éviterait etc.), ne le vivez-vous pas intensément? Outre la lâcheté morale absolue (rappeler que qui chiffre tout représente le veule intégral) de se cacher derrière "la croissance" (l'ordinateur qui décide à votre place oui mais du sort "des autres"), de l'irresponsabilité de mettre le mécanique (un chiffre sans son mode d'emploi) au centre de tous les taux (Smic, retraites, Dge, santé, Rsa, fonds compensatoires, dettes illégales etc.) – ce qui a tant sali l'acte politique. La quantité ressemble à la barbarie. Et la pensée comme "récit" s'effondre dans des esprits paresseux et dépendants (ils masquent les "esprits mères" auxquels ils sont accrochés "en douce" – ces "esprits mères" faisant tout le boulot - comme le film Matrix avait juste commencé à le montrer, avant que de bifurquer dans le spectacle inefficace). Pourquoi ? Le récit conserve une productivité négative, accumulant les malentendus, équivoques et autres quiproquos (d'où manipulations potentielles) – lorsque son fonctionnement a "besoin" de l'irrationnel. Au contraire, le non-récit du discontinu augmente les liens, connections et réactivités lorsqu'une des définitions du "génie" demeure de "savoir relier tout ce qui est séparé". La gravité (lien entre ce qui "semblait" séparé) aurait dû vous amener un peu de "gravité" dans vos jugements. Vous préférez toujours sombrer dans l'irrationnel et l'irréalisme des récits flous afin de persister "à ne pas penser par vous-mêmes". D'où chaos des chaînes causales : décidément le "récit" c'est vraiment ce qui empêche de comprendre à fond les évolutions. Autant les oiseaux, les poissons savent bifurquer, monter, descendre, se retourner "ensembles". Dans une grâce infinie. C'est l'Evolution qui "évolue" et aucun récit (parasitaire et sans gain collectif – à arrières pensées de manipulations) ne saura même esquisser ce nouveau savoir…Autant les individualistes fermés (et tous sans issue, individuellement, justement!) du capitalisme ne font que s'entrechoquer, bêtement et douloureusement. Ils ne montrent qu'un chaos anarchiste incohérent et gaspillant tout le monde. La vision claire que ce sont eux les vrais et troubles fauteurs de troubles, les réels barricadiers, les insurgés permanents, les ennemis complets de la société etc. émerge lumineusement ! Les "ensembles" collectifs oiselés constituent le sens fort et juteux du mot "évoluer". Oui, devant les individualistes hallucinés (sourds et aveugles à tout) ils "évoluent" dans la géométrie complète qu'est le mot Evolution…
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All the books of here are completely original and new from their birth. So no inspire by ancient or actual others writers or thinkers. But we function with admiration, wonder, esteem, emotion, approbation, marvel, consent or respect – therefore, we offer quotations of some names. Our productions look for the depth of everything, and find it rarely out of our work. Our references rather invoke Alex or Laurent Mucchieli, Guy Debord, Efstathios Kouvelakis, Paul Feyerabend (Against the method), François Brune (Medias think as me), Jean Louis Sagot- Duvauroux, Florent Latrive, Anne et Marine Rambach or Kristina Borjesson (Black list) over around 6,7 milliards.
Ces pages ont été "scannées" - c'est à dire numerisées à partir d'un texte tapé à la machine à écrire - leurs qualités sont moindres.
Ceci n'enlève rien au serieux du travail de l'écriture.
Indestructible shrewdness of neo liberalism?
In the every day of live, neo liberalism is supposed to be perspicacious, deeply discrepant, sharp discernment, or incredibly discriminated. The cleverest system ever seen on the planet. We just throw a glance on it. Health services, pensioned off, work, unemployment, public services, stupid organization of private which cost so much to all global counts…etc Everywhere we discover shabby or seedy thoughts, meanness ands pettiness for project, without any scope or scale. Short and acting as series of falls in fails. None a vision. Without any method or inclusive thought. Everywhere cowards who hide behind a machine function to their responsibilities. Ok to be "responsible" to rob the collective riches. Not ok to be "responsible" when you must pay the wastes and the ruins ("socialize losses" is the juridical proof capitalism only a child think!) Why to make this mental travel? Because (so strange!) the conformist of lefts and extremes lefts describe this pitiful system as so great, invincible, indestructible, always the strongest, the…etc. Only despair and discouragement to hope after their unrealizable, irrational or impracticable analysis. Why? You can approach the answers into the book…
Exercice pratique En exercice pratique cela ouvre : un jour de spéculation sur les devises (spéculer est l'acte antisocial par excellence!) c'est le montant en réserves d'or et de devises des principales banques centrales, soit 1500 milliards de dollars. A part que 1500 milliards de dollars c'est tous les jours. Et que ces réserves ne se réalimentent pas journellement. Ou le total de la spéculation (devises, matières premières, aliments) c'est 2 fois le budget annuel de la France. Tous les jours 2 fois ce budget annuel. Budget annuel qui doit tout gérer pendant que ces "acéphales" (incapables de toute pensée collective, telles les conséquences de leurs actes) ont, entre leurs mains plus qu'inexpertes, la plus dangereuse arme de destruction massive. N'ont aucun projet autre que la puérilité, la superficialité, la futilité. Sensibles au seul niveau le plus bas du réel : les mouvements browniens, les traces électroniques et l'imitation aveugle et sourde des autres comme unique pensée (ils font ça, je fais pareil!). Perte en acte de toute profondeur psychique : de telles personnes représentent l'échec le plus retentissant de la civilisation. Qui a bien pu avoir la lubie (ou la perversion ?) de leur "abandonner" le destin du monde ? S'il y a bien des êtres incompétents et inadéquats pour mener à bien cette tâche ce sont bien eux. Un œil sur le fonctionnement réel ? Combien de fois les banques centrales ne "donnent"-elles pas aux Bourses des centaines de milliards d'euros et de dollars ? Les Bourses semblent donc entièrement subventionnées par le détournement des impôts collectifs et sans que notre avis ne soit demandé. Le boursier est donc un fonctionnaire exagérément payé. (…) Face à cet effondrement de la raison (…) Il existe, clairement, un système de protection sociale étendue basé sur cette solidarité que vantent, à nos enfants, les écoles et la majorité des parents. Un tel système ne peut qu'être amélioré, il ne viendrait à l'idée de personne d'agir autrement. Vous croyez ? D'étranges silhouettes qui se prétendent "nos" dirigeants semblent penser tout autrement. Ils veulent tout détruire au seul impératif que "les dépenses exploseraient" et que les "coûts prévus dépassent l'entendement". Pourquoi pas ? Peut être ont-ils des informations qui dévoilent un autre réel ? (…)
Voyons et pourvoyons (…) Commençons par la retraite : nous verrons les diagnostics (tout au pluriel afin d'éviter toute forme de pensée unique!), les faits chiffrés, les solutions dont les alternatives et, surtout, ce que ces arrogants personnages proposent de mettre à la place (ce qui va vous émietter de déceptions tellement ce n'est jamais à la hauteur des adultes ambitions du Conseil national de la Résistance). (…) Indigence de leurs solutions Allongement de la durée de cotisations (tilt! cotisations, mot jamais prononcé dans leurs copies de très mauvais élèves!) Baisse de la pension versée, plus de garantie d'un minimum vieillesse en réalité Création d'un fonds de pension (tilt! ce fonds qui fond vient s'insinuer avec le mot jamais prononcé de "cotisations") Alignons, rapidement (pour ne pas être étouffés de nausées) quelques faits adultes : En 2006, 42 % des femmes et 45 % des hommes, seulement, ont un emploi lors du départ à la retraite. On ne voit pas comment ils pourraient "allonger" ce dont on les démunit. Démuni? Exactement, puisque le travail est un droit constitutionnel (inscrit dans la Constitution, le sommet de "l'état de droit"), s'il n'y a pas de travail la République doit vous dédommager de cette atteinte portée à vos droits. Si elle ne le faisait pas elle serait hors des lois! (…) Toutes les pistes alternatives les surpassent Autres pistes alternatives (à croire, qu'à part l'illégale panique qu'ils répandent sur "plus de retraites possibles", ils n'ont rien de sérieux à dire!): le chômage. Eh oui, les cancres indécrottables qui ont le culot de se prétendre dirigeants prouvent, sans cesse, qu'ils ne connaissent rien au réel. La fin de tout chômage ouvre une assiette de "cotisations" plus qu'énorme. Inimaginée : 1 million de chômeurs en moins, puisque retrouvant une activité à temps plein, c'est 20 milliards de plus en cotisations en plus pour la Sécu. Ce gigantesque pactole est dédaigné puisque le NAIRU ( "taux naturel du chômage") reste la preuve, si inhumaine et monstrueuse, que les dirigeants ne veulent surtout pas du plein emploi. Dans les couloirs putrides des Bourses ils clament bien "le chômage c'est bon pour l'Economie ", signant qu'ils ont une vision bien malade de l'Economie. En tout cas inapte au "global" et très antisociale. Et que donc – même si c'est difficile à dire pour les gogos qui gardent le moindre respect pour "nos" non-dirigeants – jamais rien n'a été fait pour lutter contre le chômage. Non seulement tout n'a pas été tenté mais rien n'a été, réellement, essayé. Que tout a été fait pour le maintenir, au contraire. Le "taux naturel" est celui qui "permet" un taux d'inflation bas, ce qui sert surtout les improductifs rentiers. De plus, la hure bestiale des dirigeants se profile, puisque, pour eux, fin du chômage = basculement du rapport de force en faveur des salariés. Pas question. Ils sont "pour" le chômage à fond leurs caisses. (…) Vous payez deux fois, eux pas ! Le vrai gangstérisme de ces réformes (bonnes pour la réforme) c'est que vous payez 2 fois : la cotisation, et la faiblesse des pensions. Et que ces dites "élites" s'acquittent moins d'une fois : à la limite, la définition d'extrême frontière du trop riche pourrait être "qui ne paie jamais rien". Le pot aux roses c'est que les cotisations sont volées par la finance folle. Et que, s'il reste possible que les retraites chapeaux correspondent à 85 % de l'ancien revenu, rien ne permet de ne pas étendre ce système à toutes les retraites. En Europe, le "moins disant" a pu s'organiser, le "mieux disant" le pourra donc tout aussi facilement. D'étendre une "contribution sociale des entreprises", sur le modèle de la CSG, ne toucherait qu'à l'équivalent de 10,3 % de leurs "revenus" placés en Bourse. "Charge" trop infime pour ne pas l'admettre et l'accepter pour ces tranches "supérieures". Vous pouvez tourner la réflexion dans tous les sens, vous trouvez toujours que les solutions alternatives (celles non diffusés dans ces si peu fiables médias) dominent hautement la bassesse des casseurs du système de protection sociale. D'autant plus que leur but se montre si véreux et si minable : le braquage en grand des retraites représente, en une fois (après la source sera tarie), 170 milliards d'euros. Faire sortir (sans aucune bonne raison) les retraites du champ de la protection sociale et les "offrir" à la capitalisation privée ça représente 170 milliards. (…) (…)D'autant plus, qu'un bref résumé historique rend leur position encore plus intenable : En 1974 l'indemnisation du chômage couvrait 90 % du salaire et la gauche n'était plus au pouvoir depuis si longtemps. Entre 1973 et 1981, le taux de marge des entreprises s'est restreint de 7,8 % et la part du salaire dans la valeur ajoutée (le partage des richesses collectivement produites) était passé de 66 % à 71 % de 1970 à 1980. Le salaire minimum existait vraiment, l'ISF (pour la redistribution nécessaire) aussi – tout cela semblait parfaitement naturel. Le pouvoir d'achat pouvait augmenter ailleurs que dans les chiffres biaisés de l'actuelle INSEE (et les citoyens ne seraient "pas dans le réel" s'ils ont le "sentiment de perte de pouvoir d'achat"), les retraites augmentaient, la couverture sociale s'étendait : un mouvement d'ensemble de la Société où tout le monde montait. Or, dès 1982-1983, magiquement, tour de passe passe toujours sans argument, tout cela devient impossible. La gauche (enfin la prétendue telle) serait pourtant "au pouvoir" (où ça ?). Alors ? Où est l'anomalie : sûrement pas chez les pauvres! Le factuel, c'est que, par rapport à 1974, l'Humanité est encore plus riche. Or, du jour au lendemain presque (fatalité, concurrence mondiale, main invisible (dans le n'importe quoi cette fumisterie métaphysique devrait se voir décerner la médaille de la plus vaste bêtise adorée par les anti-élites des marchés) - tout cela (possible hier inatteignable aujourd'hui) doit être frénétiquement aboli. C'est le frénétique – marque d'irrationnel et de non pensée – qui frappe et laisse deviner que la folie contaminerait les sommets. Désormais "y'aka" abolir la puissance de l'Etat et privatiser tous les services publics(…) Le capitalisme n'a plus rien à promettre encore moins à offrir En fait, le capitalisme se targuait de supprimer la pauvreté : il l'a franchement augmentée jusqu'à la transformer en misère toute. Ainsi de 800 millions d'êtres humains (oui humains!) ne mangeant pas à leur faim, en 1998, nous sommes passé, une dizaine d'années plus tard, à 1,2 milliard. Plus de garantie de l'emploi, du salaire socialisé, plus de protection sociale, santé, retraite ou chômage, plus d'amélioration garantie du pouvoir d'achat. Il y a un quart de siècle cela vous était garanti, certifié et attesté. Plus aujourd'hui. Ce système ne vous sert plus à rien. Tout en lui est contre vous, contre nous, comme une Société en sablier où une minorité irresponsable vit sur le dos d'une majorité en la prétendant classes moyennes (à 1175 € mensuel, selon l'INSEE, n'est ce pas frénétiquement anti-sociologique ?) (…) Discrédit complet du privé Puisque nous avons goûté au privé. Dès 1989, au Royaume uni, par exemple : en 5 ans, le bilan fut tonitruant : les bénéfices multipliés par 3 et les salaires des dirigeants multipliés par 4. Pour le regard abruti du financier cela semble positif : ce qui signe bien son incompétence. Car à quel prix ? Tous les prix, justement, explosèrent : le privé c'est ce qui augmente toujours plus les prix. A l'exemple de ces compagnies pétrolières qui ne répercutent que les hausses du prix des carburants, jamais les baisses. 28 % en plus dès la première année pour l'eau, illégitimement privatisée puisque c'est "un bien public", un "patrimoine commun" de l'Humanité. Même la Cour des Comptes souligne que "les hausses de prix sont à mettre en relation avec les privatisations". Où est l'avantage pour le "client" ? Puisque tout ce qui représente les avantages du service public s'y trouve saboté : baisse de la qualité des services, plus de péréquation tarifaire, abandon de la continuité des prestations et baisse de la sécurité, plus de recherche et développement, minimum d'investissements. A telle enseigne, que le ministre britannique des transports souligna, à l'époque, "que c'était une honte nationale" que la dégradation du patrimoine des chemins de fer par les voyous "privatisés". Alors pourquoi la privatisation lorsque qu'elle chute dans l'obscénité irrécusable que les impôts collectifs doivent réparer les dégâts commis par ces irresponsables ? Il n'y a que des krachs privés jamais de krachs publics (si un état se déclarait en faillite ce serait uniquement par le pillage des impôts par les compulsifs du privé). Le privé ne sera jamais indépendant par rapport au public : il vivra toujours à ses crochets dans cette effondrement de "la collectivisation des pertes" (..) Seul émerge le service public Le service public demeure le seul à faire des investissements que le privé ne fait pas : c'est dans sa nature cette myopie sur ses seuls profits, le plus rapidement possible sans s'occuper des conséquences systémiques. Cette incapacité structurelle à l'autonomie dessine un comportement d'enfant inconscient et je m'en foutiste, qu'un adulte doit englober. Et rectifier pour supprimer les désastres systémiques. Dans ce contexte, les actionnaires sont pour l'affaiblissement maxima de l'état. Les médias plus qu'irresponsables, si prompts à hurler contre des anarchistes, semblent inaptes à déceler les vrais anarchistes, lorsqu'il y en a. Ces actionnaires qui actionnent les dérives du privé (sans contre-pouvoirs) ne peuvent que détruire, tendanciellement, complètement, tout état. Si ce n'est de l'anarchie c'est quoi ? Il s'agit de contre-balancer tous les graves délires du privé. Galbraith, prix Nobel d'économie, l'avait fait, décrivant le règne de "la libre entreprise et de la concurrence" comme le refus de toute concurrence, les multinationales imposant leurs prix et refusant toutes "régulations" autres. Ce qui introduit que les prix émergés du service public demeurent plus rationnels et raisonnables que ceux "imposés" par le privé. Galbraith poursuivit, en démontrant que le privé reste plus "bureaucratisé" que le public, que son taux de rendement y demeure inférieur : quoi de plus compréhensible avec les lourds handicaps des revenus exagérés de leurs dirigeants, qu'il s'agit de compenser. L'illustration du système d'assurances états-unien (cette capitalisation pitoyable qu'on nous propose de troquer à la place de la répartition!), tellement segmenté "que personne n'y comprend rien" survient dans le non-débat "la France n'a plus de politique industrielle". Que croyez-vous que les insurgés contre tout débat public (privatisation des débats) pondent? "Une partie de l'argent public doit aller aux entreprises" : comme cela, texto, et sans garanties, sans engagements, sans contrats ni contrôles – bref, sans le "retour sur investissement" qu'ils préconisent tant. Faudrait savoir! La puérilité permanente de leurs propositions augmente, sans cesse, les doutes sur leur réel sens des affaires (collectives) aussi! Puisque demeurent largement occultées toutes ces "victoires de la musique des services publics". Avant son inutile privatisation, EDF-GDF n'a jamais perçu un seul centime de l'argent public pendant 22 ans. Et même versa-t-il, à l'Etat entre 300 millions et 1,3 milliard de francs tous les ans. Oui les services publics sont bon marché et génèrent des gains partageables. Oui les services publics rapportent plutôt à toute la collectivité, à presque tout le monde. Les privatisations ne bénéficient qu'aux seuls marginaux capitalistes et leurs actionnaires – bref, une infime minorité. Sans élévation ni largesse (...) Lutter contre la délinquance par une délinquance bien plus grande Dernier volet de la tentative de destruction de la civilisation par la si régressive barbarie capitaliste : le traitement de la délinquance. Nous nous trouvons au centre de leur déchéance. Ils nous prouvent qu'ils ont perdu tout jugement, que le mot "Justice" est devenu dénué de tout sens pour eux : s'étant séparé de toute empathie ou sympathie, ils se sont auto-exclus de toute possibilité de compréhension des autres. Nous pas : voyons leurs exactes exactions en ces domaines (...) Leur lutte contre la délinquance touche au sommaire : le seul coupable de tout est le pauvre. Aussi – sommet des absurdités – seule la très petite et très moyenne délinquances sont pourchassées. Et il faut voir comme ! Cela s'analyse comme une escroquerie télévisée : tant d'injustices et de refus compulsifs de toucher à la grande délinquance, juste pour que de passifs zombies soient repus de ces sordides mensonges…Ainsi le chiffre remplace le réel : et il est si facile de faire du chiffre. Suffit de s'installer telle heure tel endroit. Suffit d'aboutir à cette part exagérée des drogues douces dans les tribunaux, encombrés par cette non- délinquance. Les résultats s'amoncellent désastreux : ces gribouillages de Gribouille augmentent la criminalité au lieu de la diminuer. Le tout-incarcération c'est, pour les petits délits, 65 % de récidive (11 % seulement pour les sursis). L'incohérence se révèle dans augmenter le "volume" des petite et moyenne délinquances qui ne représentent que 10 % "en valeur" de l'ensemble de toute la délinquance. D'où, vous arrêtez 10 dealers, comme une demande perdure, 10 autres prennent leur place : vous venez de multiplier cette délinquance en prétendant la diminuer. Est-ce sérieux ? 90 % de la grande et très grande délinquances "en valeur" n'étant jamais inquiétées. Est-ce sérieux ? 10 % de la vraie délinquance est seule traitée. Comment ? Par effet d'annonces : (…) Pendant que les "faux" délinquants (petite et moyenne) subissent le schéma connu des casseurs insurgés de la protection sociale : ils financent le système à eux seuls! C'est le 1,3 milliard pour les 13 000 nouvelles places en prison, c'est Sodexho qui palpe beaucoup pour les cantines, c'est Valéo qui sous-paie le travail des prisonniers, c'est 90 millions d'euros pour les flashballs et les bracelets électroniques. Etc. Le marché de la délinquance semble monopolisé par des esprits encore plus délinquants (même si glorifiés par les médias fous) puisque si vous vous permettez de mettre des êtres en prison, il semble que vous devriez, au moins, respecter la loi. La "fausse insécurité" (ignominieusement "construite" pour les médias) a, déjà, rapporté au moins 100 000 € pour chacune des 400 communes équipées, avant 2006, par sa peu utile vidéo surveillance. Puisque la très grande délinquance des "élites" n'est pas incluse dans le "tout société écran". La fiction rapporte donc…puisque tous les grands reportages, à ce jour, sont bien reportés !!! (…) Il faudrait donc plutôt quitter toutes les attitudes valorisantes qui vous offrent d'avoir toujours raison si vous vous affublez de tels symboles, vous accoutrez de telles fringues ou semez votre discours de formules toutes faites qui, trop souvent, ne servent à rien sinon à empêcher de penser. Il faut donc quitter toutes les rodomontades verbales, puisque les conformismes de gauches et d'extrêmes gauches participent bien à l'incompréhensible survie du capitalisme. Les conformismes de gauches et extrêmes gauches font, de plus, extrêmement souffrir les gens que vous croisez et vos entourages. Pourquoi vous entêter dans ces comportements de bourreaux ? Pourquoi devenez-vous, trop souvent, nos et vos ennemis ? N'est-ce pas que vous vous seriez toujours trompé d'admirations ? N'est-ce pas que vous attendez encore l'autorisation du centralisme culturel et affectif pour trouver que la personne qui se trouve juste à côté de vous raisonne bien et progresse mieux que vous ? Ce pourquoi vous ne relayez quasiment jamais le meilleur de vos voisins et que la télé demeure le membre le plus important de vos familles? Que vous voyez partout les voitures conduire les gens, les supermarchés acheter les individus, et les centralismes vous voler vos cœurs ? N'est-ce pas comme du contre-emploi ? En creux, les extrêmes gauches actuelles (du moins, leurs franges directionnelles, celles que les médias "autorisent" à passer – ce qui devrait lever les oreilles de la vigilance) paraissent comme les plus efficaces propagandistes du capitalisme. Sa survalorisation y tourne à plein régime. Trouvez un seul document de ces extrêmes gauches (hors underground) qui ne grossisse pas, outrageusement, l'invulnérabilité du capitalisme et nous vous offrirons des prunes carrées. (…) Le principal "échec" de ces extrêmes gauches se montre donc ainsi : un discours extérieur qui semble épouser de vraies luttes mais un fonctionnement intérieur (autant dans chaque composante de la gauche que dans la mentalité de ses leaders) clairement de droite. Soit, partout de l'inertie, de l'abandon, de la stagnation, de la paralysie et de l'immobilisme : tout ce qui est rassembleur, unitaire, réunificateur se montre le plus caché, masqué, camouflé, escamoté. C'est donc le centre même des peurs des dirigeants! Dit autrement, comme pour l'offre commerciale qui se déguise en diversité alors qu'il ne reste plus que peu de choix réels, l'offre politique se déguise de discours divergents mais, réellement, (au niveau des franges dirigeantes évidemment) a clairement rétréci ses choix sur la droite. La vraie gauche n'existe plus qu'à la base : pareil pour les extrêmes gauches qui se sont évaporées au niveau de leurs leaders. Le pot aux roses se clarifie dans l'insistance démotivante qui trône dans leur "pensée" : tout ce qui peut aider à l'émancipation collective est bienvenue. Pas pour eux : les analyses doivent stagner dans le théorique déshumanisé incapable de la moindre pratique, dans des généralités abstraites où aucune action concrète ne peut s'articuler. (…) un ensemble d'effondrements qui peuvent prendre sens à l'aide de deux petits exemples. Julia Kristeva, dan son travail de psychanalyse a relevé ceci. "La destruction de l'espace psychique est un des dangers à venir, qui met en jeu des questions d'éducation, de culture et de politique. Une des conséquences est la difficulté à lire, à écrire, deux aptitudes très dépendantes de l'espace psychique (…) Je vous surprendrais peut-être, mais j'ai sur le divan des personnes qui qui travaillent dans les médias, maison d'édition, chaînes de télévision, et qui me disent qu'elles ne peuvent plus lire ; elles commencent, deux minutes, une page, et elles ne savent pas ce qu'elles ont lu, parce que l'espace psychique ne s'y recueillent plus, il n'est pas assez serein et solide pour assimiler tout cela et le restituer" ( p. 209, Le livre des savoirs, conversations avec de …). Ces personnes qui peuvent être très arrogantes se dévoilent en pleine régression vers le handicap, ou, du moins, l'amoindrissement de leurs facultés intellectuelles. Le hiatus est qu'elles travaillent dans la culture où elles osent censurer des millionnaires de "l'espace psychique". Il s se permettent de priver la collectivité de ces esprits "en technicités de pointe". Et de poursuivre : "(…) cela signifie également qu'il n'y a pas d'"autre", il n'y a pas de lien, lien d'amour et lien social, pour assurer cet espace psychique. Toujours est-il que (…) notre civilisation est en train de se fissurer en raison de cette mise en difficulté, voire de cette destruction de l'espace psychique !". L'intelligence du capitalisme se démontrant par "destruction de l'espace psychique", rabougrissement de nos facultés, n'est-ce pas confirmation de nos analyses. De plus, des personnes chargées de "communication" aussi infirmes de communication, châtrées de tout amour et sociabilité, par solipsisme et hypertrophie des égoïsmes, est-ce que ça ne fait pas très désordre ? Tandis que les derniers porteurs de "l'espace psychique", ces millionnaires de la vie intérieure, se montrent toujours pourchassé-e-s par la médiocrité médiatique !!! Si le capitalisme ne ressemble pas à un suicide collectif, daignez nous expliquer un peu (…) (…) second exemple : (…)Le capitalisme ne dispose plus que d'affligeants et piteux modèles de ce type (en perte vertigineuse de toute intelligence) pour faire la propagande de son indiscutable supériorité. Nous constatons, sans effort, un échec gigantesque de sa perception de la vérité, et, en conséquence, un aveuglement complet sur sa propre réalité. Si ça ne vous magnifie pas le cerveau… Une évidente déchéance psychique des dirigeants (en touts domaines : politiques, c'est gouvernants faut-il le rappeler ?) se dessine fermement. Ce qui surnage de ce carnage ? Bien, justement, la vraie intelligence : inter legere lire entre, la "guerre de mouvement" de Gramsci demeure supérieure à la "guerre de position" (à laquelle se limitent les dirigeants figeants, immobilisateurs). La propension excessive à trouver la plus haute forme d'intelligence au si minable capitalisme "sans pensée" participe du chapelet de malentendus. (…) Dans le versant "méthode" qu'est l'intelligence, le capitalisme déploierait, plutôt, des insuffisances de méthodes : enfermements mentaux multiples, refus maladif des débats, psychorigidités, incapacités à l'écoute, durcissements dans les monologues et les unilatéralismes, inflammations d'asocialités…etc. Là où les extrêmes gauches nous clamaient discernements et perspicacités, lucidités et sagacités, nous ne constatons qu'aveuglements, surdités, perceptions très rétrécies au réel (d'où atrophie inquiétante du sens de la "globalité", du collectif, de l'intérêt général et de la synthèse!)…Nous détectons donc de réels handicapés et infirmes, qui ne persistent que par une bonne volonté et une gentillesse générale, ce qui infirme la soi-disant intelligence du capitalisme…Médiocre en tout, où y déceler cette générosité qui génère tout ? Qui engendre, crée et procrée, produit et reproduit, conçoit et enfante – comme l'observait Max Weber, le capitalisme parasite ce qui lui préexiste et le phagocytant, et, plus précisément, par lui-même il est incapable de créer ces qualités humaines qui lui ont permis d'émerger. Méthodologiquement, le capitalisme n'est qu'un destructeur barbare aveugle à tout ce qui n'est pas si minable ambition (le "profit" semble un concept qui ne séduit que les attardés mentaux ou les paresseux du bulbe). Sa réputation semble très largement surfaite !!! (…) De cela jaillit que c'est votre changement intérieur réel qui change ou non le capitalisme. Changement intérieur dont vous seuls en savez l'authenticité puisque, au fond, on ne trahit que soi-même. Mutation interne qui unifie sentiments, émotions et intellects avec imaginations, raisonnements et intuitions. Sans ce changement complet de regard, sans mutation de votre mentalité, sans façon radicalement neuve d'user des mots et des concepts, comme des raisonnements et des actions – toutes les gesticulations extérieures s'éteignent dans le sable des illusions. Pire : ne font que renforcer ce système ! Si votre mentalité ne précède pas, votre posture ne sera que celle d'un pantin ou d'un zombi cette conduite. Tout changement brusque de style de vie a, obligatoirement, été devancé par un lent et long bouleversement de mentalité. Aucun changement collectif sans un fourmillement de changements individuels. Vous ne pouvez changer si vous n'êtes pas vous-même le changement. Nul n'a à s'occuper de faire "la" révolution juste "sa" révolution. C'est la réponse à comment changer entièrement la Société sans l'obscurcir inutilement de chefs!!! Pigé ou à la pige ? Entre nous, où est passée l'intelligence indestructible du capitalisme ? Ce segment historique de l'Histoire humaine n'aura donc été qu'une période d'effondrement moral et affectif si douloureuse, qu'une gaminerie sans envergure, un si lamentable échec de la bêtise qui voulut se couronner toute seule en persécutant toute justice, toute intelligence, toute beauté et toute bonté… ( A suivre)
systemics sciences and holistics minds |
format PDF |
36 pages
tags & references
Social, unemployment, wealth, pension, public services, sustainable poverty against misery, sociability, the lefts, organizations, active & operate, process, elements
When your thought is global one, inclusive, "allish" you would meet 2 great misunderstandings on "globalise world", financial hyper-centralisation capitalist which can not be for the "world" or the against-capitalism are trapped in words as "other globalise" "alter-world" "aliens of capitalism' etc. We are from earth and all countries not realistic (in last analysis) so rather name Naomi Klein, The Yes men soit Andy Bichlbaum et Mike Boannno, Alexander Berkman, Eduardo Galeano, Robert Reich, Jacques Berthelot (for agriculture), Anya Schiffrin, Hevard Margulis, Jean Ziegler, Laurent Cordonnier, Jean Bricmont, Serge Milano, Michael Moore (on 9 563 872), than others names.
Ces pages ont été "scannées" - c'est à dire numerisées à partir d'un texte tapé à la machine à écrire - leurs qualités sont moindres.
Ceci n'enlève rien au serieux du travail de l'écriture.
why do we left the left wings ?
When people have a glance upon past, sometimes they find gold. Here - gold is a book's competition based on a subject: "Why left always loose until 30 years ago?". Why we had left the left wing? The answers swear diamonds and gold… But you must explain only with psychological, moral, affective etc…items. Not the usual material way, economy, trades and wares instead human beings. Mechanisms and structures instead live and social blood. That's a travel through the unknown. Book out of hook. So what the discoveries? If we loose (from 30 years) it's because (be cause) the leaders and rulers. Well, don't meet them in left anymore, with their full bodies, hearts and minds. Only left their empties speeches. They left the left! Don’t believe it? Try to find, in the way they function, only one little thing, which is still progressist, egalitarian, brotherly, or liberator! No! Everything seems twisted in hierarchy's grin, more and more illegitimate. Information's retentions and no more debate: can you see them "sharing" the "same life" than us in all that? Is left exist if nothing left to share? They forsake, in so deceit, surreptitious and cunning ways, the left's actions and gifts…Dirty hearts and minds!!! How to win? Ter. So easy. Come and read this book. It contains so many rivers of joy, gold, ecstasy, serenity and love. Capitalism just as if you were in jail!
Et du bon côté de la Raison … Lorsque les questions ne sont jamais posées c’est que la collectivité a peur des réponses : les « messagers » demeurent toujours sacrifiés. Manque de bol ! ils demeurent autant porteurs de mauvaises que de bonnes nouvelles. Sans leur présence nous nous privons du meilleur ( ici des voies de « sortie » !). Avoir lâché la proie ( la vraie gauche) pour l’ombre ( imiter la vraie droite) nous place dans le «; cône d’obscurité », que tout astronome peut vous décrire. Les mensonges publics sont des pourrissements privés. Dit autrement, si toute vérité se voit interdite d’accès public ( en linguistique accès public s’articule public-ité, or publicité est devenue le marasme et la matrice de tous les mensonges) cela ressemble à une zone contaminée au point d'avoir reçue la chape de béton. Plus d’êtres ont « intérêt » ( enfin leur conscience paranoïaque leur fait croire que …) à empêcher toute entrée de quelque vérité que ce soit – comme irruption de ce réel qui mettrait en marche l’action qui irait, nécessairement, les faire tomber en poudre – que d’autres à dire les vérités ( plus personne n'est entier et entièrement sincère !),et cela tourne au suicide collectif . Les plus fous ( qui se situent dans les autoproclamées élites) entraînent le reste de la population. Les mensonges publics sont des pourrissements privés. Comment faire lorsque la destruction survient du haut ? La logique ( qui « loge » tout !) rend de bien grands services à condition que vous ayez une structure mentale "raisonnable" ( qui peut être raisonnée). La logique aplanit : si la gauche perd « à ce point » c’est à cause d’elle-même !!! Le problème avec les structures paranoïdes c’est que nul ne peut justement les « raisonner » - soit « échanger » de la Raison. Pour cette gauche "qui va expliciter" ? Qui va oser expliciter pourquoi nous perdons depuis 30 ans ? Que nous manque-t-il du point de vue moral, intellectuel, théorique, pratique, et autres, pour ne plus gagner? Qui va expliciter deviendrait-il le barrage central ? La logique plaide pas les contaminés de la structure paranoïde - le léger problème c’est que ces « contaminés » se trouvent, massivement, chez les décideurs et les médiatiques et que le « poison » qu’ils lancent se prononcent « si vous n’êtes pas d’accord avec ce que je dis vous êtes inaudible ; d’ailleurs, je vais vous rendre inaudible « donc » ce que vous dites ne vaut rien et mérite de rester inaudible». Cqfnond. Les perversions siègent au sommet : toute raison, au sens tant scientifique que moral, s’est vue expulsée des circuits autant décisionnels que de diffusions. Vous y avez bien observés que les « donc » ne sont plus argumentaires mais caractériels. Le piège vénéneux serait- il fermé ? Qui va, en effet, affronter ces sommets ? Encore, sera-t-il/elle « relayé-e », aidé-e ou épaulé-e par qui que ce soit d’autre ? La survie de l’Humanité n’a jamais été aussi fragilisée, le fil aussi ténu : d’autant plus que « tout cela » se passe dans une ambiance d’infantilisation collective rarement atteinte, où la majorité ne « désire plus prendre son destin en main », où, comme disait Adam Smith, « leur tête leur devient un fardeau dont ils veulent se débarrasser» et où « l’amusement se pose comme principal argument qui tue tous les raisonnements ». Le drame dépasse toutes les possibilités antiques
: nous avons aperçu que les « dominants » ( qui le seraient si peu s’il n’y avait les médias) baignent dans une structure paranoïde ( valait bien mieux la schizoïde des 70’s !) quasiment sans issue, puisqu’elle crache, aveuglément et machinalement, sur toutes les intelligences. Il nous faut carrément des « héros », soit des êtres qui « sacrifient » une partie ( ou toute) de leur vie pour affronter le monstre et jouer aux « éclaireurs » qui fassent lumière sur les solutions. C’est que les rares survivants à la folie archi cruelle des médias ont profils « dissuasifs » ( le mal que font les inconscients immatures des médias se zoome, en effet, si terrifiant !) et que, de devenir « héros », dans la si démobilisatrice ambiance d’amusement général, ressemblerait à du pur masochisme, d’autant plus que les « récompenses » risqueraient d’être inexistantes ( l’Humanité a, rarement, eu le cœur aussi sec qu’aujourd’hui) . Où trouver de la motivation ? Le drame actuel paraît devenu totalisant !!! Si vous en avez pris pleine conscience, vous avez dû déduire que la réponse à notre brulante question, se fera plutôt par étapes, et après quelques détours. Le changement change même les habitudes, vous n'étiez pas au courant ? Comment adviennent/proviennent les textes aujourd’hui ? ou l'inadéquation presque totale des productions écrites par rapport à nos besoins présents Comme il vient de surgir dans les évidences (évidées jusqu'à hier) que, seuls, les anticonformistes nous sortiront du marasme – il en découle que les méthodes employées seront scrupuleusement anticonformistes. Elles suivront bien les cadres intellectuels et les logistiques expérimentales de la vraie science ( telle que transmise dans les anciennes universités indépendantes)mais à leur façon nettement inclusive ( exclure doit, définitivement, transparaître, comme un échec de la pensée bien incapable "d'engendrer"!). Vous verrez, alors, qui savait vraiment "écouter". Aux méthodes universitaires s'ajouteront les méthodes diversitaires. Si votre intelligence ne sert pas à vous élargir le cœur, et au-delà, à quoi sert donc cette putain de merde de fumisterie ? Donc sachez ressentir avant que de vous précipiter dans l'asphyxie de la critique mécanique et sans justification réelle. Triomphe de la théorie La situation de la théorie, actuellement, n'est pas du tout catastrophique, même si l'inquiétante étrangeté des pilonnages qui favorisent beaucoup trop la droite voulaient le faire croire. C'est que les contraintes, que l'on place sur la route de la gauche, relèvent plus de la pensée magique que de la raison. A la droite il n'est jamais exigé le dixième qu'à la gauche : sinon nous n'aurions jamais eu cet anachronisme potache nommé "néo-libéralisme, une insulte à l'intelligence, une régression barbare par rapport au niveau de civilisation… Ensuite, le formatage des "responsables" d'éditions paraît incroyable :le réel ne peut contenir qu'une seule version, pourquoi semblent-ils hallucinés là-dessus . Tous leurs livres se ressemblent par trop, quel que soit la "tendance" politique : ce qui, structurellement, empêche toute possibilité de questionnement, toute nouvelle considération sur les problématiques et, donc, l'éventualité même d'actions adaptées. La Société est bloquée par le haut. C'est, en conséquence, la pensée des dirigeants de toutes natures ( même éditoriales) qui forment obstiné blocus ( uniquement pour des fantasmes de peur du peuple !). Le manque d'esprit pratique collectif ( qui ne survient que par fréquentation quotidienne de la théorie – voilà ce que c'est que d'avoir abandonnée la réflexion sur le soviétisme à l'esprit journaliste : conclusions toutes faussées parce que le bagage théorique de départ se montre défiguré). Le point commun entre ces esprits sans issue c'est "le monde à l'envers". D'apercevoir que tel ouvrage "se vend", vibrionne le mécanisme de le "reproduire" ( esprits retournant donc à la bestialité et à l'automatisation avec TRAHISON complète de la pensée, tournant, en plus, sournoisement, le dos à toute émancipation collective), le technicien en sait plus que le créateur ; s'y ajoute le "syndrome du professionnalisme" complètement erroné, puisque depuis le temps que nous avons carrément des "professionnels" la situation mondiale devrait être optimumement parfaite or elle s'annonce catastrophique, le "professionnalisme" achoppe donc comme un alibi et un aveuglement qui masquent les routines, les enkystages, les dysfonctionnements ou les fausses pistes. A l'inverse, les amateurs restent ceux qui AIMENT…La réalité n'exclut jamais rien … Pour survivre le capitalisme doit créer de toute pièce, sans cesse, des crises, mettant la planète en danger. Le seul problème sérieux, et qu'aucun dirigeant actuel ne semble apte à résoudre, c'est la REPARTITION des richesses. Des chiffres parlants… Où est donc la crise ? Uniquement dans le si dangereux système capitaliste. Pas dans la Société réelle!!! Les leçons fulgurent et le "hideux secret de la finance" va exploser : en fac on nous bernait avec "les dépôts font les crédits" or si le prêt n'est que " scripturaire ", soit une ligne fictive sur un livre ( et nous remboursons avec du vrai argent) le scandale de ces milliards de milliards "volés à la collectivité" pour fournir aux banques l'argent qu'elles ne nous prêterons pas ( et vaudrait mieux récupérer directo nos billes !) démasque ce système sauvagement antidémocratique , escroqué par des financiers "non élus" et qui instrumentalisent les "élus" ( les abstentionnistes se montrent les seuls lucides "contraignant" à l'abolition de "l'offre" politique actuelle et à la création d'une nouvelle génération de politicien-nes ). L'illégalité de ces manœuvres saute aux yeux : rendez-nous tout l'argent que vous nous avez volé et, peut être, faut-il, aussi, arrêter les banquiers comme "braqueurs de banques", en tout cas discréditer à fond leurs irresponsabilités et n'y plus voir que des "gosses attardés" dans ces ex-grands. Lorsque les "produits dérivés" représentent 10 P.I.B. mondiaux et que la machine étasunienne ne voit que la sortie : "les banques doivent copier le process boursier", lorsque le système de la dette étasunienne ( des particuliers et de l'état) pèse 17 P.I.B. mondiaux, il est temps de parler en français courant. Cela donne : les U.S.A. sont les mendiants structurels mondiaux, ils se vautrent dans l'indignité en vivant sur le dos du reste du monde. C'est à cause des inhumaines privations des africains que ces imposteurs peuvent vivre en consommateurs archi délinquants ( structure en apex). Lorsque vous êtes endettés et que vous ne remboursez pas vous êtes plutôt mal vus : grâce à l'illégalité médiatique mondiale c'est l'inverse, les pauvres sont calomniés, or les flux monétaires mondiaux continuent à aller du sud vers le nord , donc seuls "les pauvres aident les riches". L'illégitimité du système suinte de partout : "no one is innocent" osent-il salir les spoliés, persécutés, calomniés – clair qu'eux demeurent bien innocents des turpitudes des autres , qu'ils subissent de plein fouet. En voyez- vous d'autres ? Au niveau du travail, le même gangstérisme sévit : en français courant ça se dit "plus vite tu bosses bien plus vite t'es viré" – l'augmentation de la productivité, sans partage des plus-values afférentes, doit être poursuivie pour "antisocialité" avec dommages et intérêts rétroactifs. S'ajoute, le changement climatique qui EXIGE que nous travaillions toutes et tous toujours moins ( travailler plus forme un "déni du réel" psychiatrisable !). En conséquence obligation constitutionnelle de dédommager le travail "qui est un dû" : un revenu universel d'existence ( allié au "salaire maxima garanti" qui reste une de nos formulations théoriques que le circuit des diffamations doublé de celui du "vol des idées des autres", a fait connaître – l'important c'est de passer non hé con !) devient point "nodal". Seuls vrais penseurs ( ceux qui allient esprit pratique hyperactif – une idée par jour – avec le collectif de la théorie) et artistes pourront nous guider vers la "fête sociale permanente", 24 h sur 24 h, avec ré apprentissage des socialisations, thérapies des troubles dus à l'individualisme solipsiste etc ( la stratégie ne se dit pas…) – qui palliera à la baisse draconienne des activités "qui tuent la vie". Léger condensé des valeurs ajoutées de la théorie ( vous entrevoyez bien qu'elle se montre complète, globale et unitaire !) … …En l'état du monde, sa trop déshonorante non diffusion Voici esquissé le triomphe de la théorie qu'aucun-e participant-e à la gauche caviar ou à la "gauche culturelle", au "parisianisme si arriéré" ( que nous devons le traîner comme un boulet…) etc etc (idem) n'auront contribué à produire. Tous les imposteurs sont démasqués : il faut qu'ils tombent vite vite pour que nous montions. Vous vous êtes toujours trompés d'admirations. Qui ressent l'ellipse sait qu'elle a deux centres. Qui sait mettre la pensée en abîme vit, physiquement, le "déplacement" que crée la pensée. Qui vibre de raccourcis devient tellement utile aux autres s'ils admettent que les émotions ont forcément leur place dans toute réflexion. Vous avez bien vu à quel sommet d'inhumanité nous a entraîné ce monde sans affection, pour ne pas dire sans amour ? Nul-le ne vous oblige à intégrer la sale mentalité des dominants: si vous le faites ne vous en prenez qu'à vous-mêmes et admettez que les anticonformistes sont bien les meilleurs résistants ( à consulter sur "les milliers de petits trucs") à toute propagande ou manipulation, ils ne sont jamais gogos, juste victimes intensives de toutes calomnies et autres persécutions ( puisque "vous" rajoutez les vôtres à celles de la droite)…Si la gauche perd c'est que, partout et encore, semblent soutenues , secondées, assistées, insistées les pensées structurées comme des censures, exclusions, flicages, émiettements, désunions, étiquetages compulsifs et fanatismes du simplismes et du bipolaire. Socialement, ce sont les pensées qui créent la "réalité sociale" vous n'étiez pas au courant ? Ainsi, la sidéralité d'un concours pour le dire ( comme du temps de Jean Jacques Rousseau) souligne-t-il tout le désarroi de l'urgence ( ou l'urgence du désarroi ? choix projectif ?), d'autant plus que ce concours s'allie avec la possibilité d'anonymats, de surnoms et/ou de total bénévolat. C'est dire qu'il est ratissé large et que l'on a besoin de tout le monde. La "gauche culturelle" ( paraît-il "victorieuse" dans la culture – à quel prix !) semble bien avoir commis de gigantesques dégâts !!! Plus vite nous l'aurons contournée plus les chances de s'en sortir, collectivement, augmenteront. Cui prodest ! Pourtant, ce n'est pas parce que vous avez pris le pli de perdre que certains n'ont pas "déjà" gagné !!! Nous vous avons esquissé l'émergence de nombreuses méthodes, si stupidement, non utilisées, parce que, tout simplement, nous ne vous les expliquerons pas. Nous n'avons rien à vous apprendre juste à partager. Ce texte n'est pas un cours juste un brûlot comme il en surgit périodiquement. Vous ne pourrez donc l'utiliser qu'avec qui vous aimez bien et pas pour élargir la surabondance des êtres blessés, piétinés, rabaissés ou humiliés. Le savoir émancipe collectivement ou c'est qu'un truc pour les bourreaux … Nous surgissons de vrais savoirs scientifiques ( paradigmés par le plus exigeant des sciences sociales et humaines, dont l'économie), nous y avons ajouté les littératures et linguistiques, accolés aux techniques corporelles et aux arts. Nous avons pratiqué l'approche associative ( langage non violent, résolution des conflits, utilisation des textes martyrs, collectivisation des savoirs, systémique pour "solutionner" de vastes problèmes à un coût infime là où les énormes organismes – et Galbraith persiste à souligner que les multinationales sont plus "bureaucratisées" que le public! – voguent dans le plus gluant irréalisme ( s'enrichir n'est "pas un résultat" sérieux) etc). Des activités diverses ( et les voyages "lorsque apprendre une langue dans le pays c'est vivre une nouvelle vie") nous ont mis en contact avec de nombreux secteurs de la Société (si, suicidairement, repliés sur eux-mêmes et "si tout le monde reste enfermé chez soi y-a-t-il encore Société ? et, d'ailleurs, montrez-nous un seul lieu "saturé de social" – le social ( s'il est décrété "subversif") s'avérerait-il expulsé de partout !!! ???) tout comme nous avons pratiqué de nombreuses techniques si peu employées, comme "l'information en retour" ou le feedback. Bref,... Les écrivains qui "omettent" ( pour le moins !) de tracer fermement leur "description du monde" "servent" à renforcer le lit profond des conformismes. Agissant ainsi, ils se dévoilent très anti-écrivains. La "description du monde" - comme ce qui nous manque pour gagner – c'est très physiquement, et sensuellement, en chaque pulsation du quotidien, de s'incarner, d'ancrer une version alternative en dehors du vacarme sans issue des propagandes. Cela appelle une forte imagination, qui n'avait jamais été qualifiée, malheureusement, de "qualité de cœur". L'imagination fait bien battre le cœur du partage. Et les écrits sans "description du monde" forte ne semblent rien avoir à partager : ils appartiennent aux pulsions de mort et aux forces de "dissociété". Le fait de devoir revenir aux formes de réflexions et de diffusions des écrits d'il y a 260 ans souligne,d'ailleurs et d'ici, l'extrême effondrement des liens sociaux, et avoue, du même mouvement, à quel point le médium est l'antimessage ( faire croire que les "supports" rendent les messages intelligents et efficaces constitue une haute escroquerie comme une bonne partie de "l'informatique" !)…Il faut, d'urgence, "retrouver" les esprits et les cœurs que la bestialité technicienne a tant dévasté. Les pertes infinies de respects ( et "les racailles qui sont, massivement, au sommet" ne se vautrent plus que dans les indignités !) contraignent à une nouvelle clarification des méthodologies…A quoi s'ajoutent ( écrire sans jamais fréquenter celles/ceux pour qui vous écrivez ressemble à une hallucination !) les témoignages en direct que votre façon d'écrire "fait tant de bien ", apportant des bouffées d'espoirs et d'avenirs possibles, "rendant plus fort-e-s et plus serein-e-s" de piger que "ça reste encore possible" que "c'est fantastique de savoir que des gens comme vous existent encore", que "rien jamais ne détruira le peuple" ou que "la taupe voit seule clair" …Surabondance de témoignages dont il demeure un déshonneur des médias ( qui doivent, parfois, arrêter de parler des seuls très marginaux capitalistes non ?) de ne point en avoir, seulement, un soupçon de conscience. Cet écrit se montre de la sorte bourré d'informations : ça ne se manie pas du tout comme les habits tués ! Nous pataugeons dans le règne de l'antipensée : ce qui explique que le triomphe de la théorie se couple avec la misère des pratiques , En illustration toute, en psychologie de pointe, faisant lire des textes à des individus ( peu Importe la nationalité – tout ce qui éloigne des trajectoires n'aide pas à penser : il va falloir réapprendre à "essentialiser"!) ne connaissant pas un mot d'anglais, à "lire" 3 textes, un de Shakespeare, un plus ancien, un inédit très récent, en leur demandant de "dater" les textes, ainsi que de dire "lequel est le plus connu et le moins connu". Résultat : la chronologie et la notoriété sont bien placées, ainsi que le "commentaire" "ce texte nous paraît familier et celui-là étranger". Donc plus c'est répété ( même si tout est entièrement faux) plus ça paraît vrai, "évident". Et plus c'est "nouveau" plus ça paraît bizarre, faiblard, biscornu, déphasé, utopiste, déraisonnable. Ce redoutable toboggan pour propagandes devrait donc être archi connu – d'autant plus, qu'il permet de répondre à la question hyper passionnante "qui influence le plus dans la Société ?". Pas les "médiatisés" en tout cas. La gauche perd parce qu'elle s'est enlisée dans la "croyance" qu'il faille "conquérir les médias pour gagner", en passer par eux. Apparemment non ! Les "croyances" aboutissent à de lourdes erreurs lorsqu'elles trépignent de refuser les faits : il demeure plus aisé de manipuler les croyances que les expériences ( et pourtant certains d'entre nous ne se sont jamais fait avoir par ces tours de passe passe – exactement ceux dont ce concours recherche le concours ! tel une émergence radicale de la porte du futur antérieur). N'omettons pas tous les "trompes cerveaux" – même en psychologie de pointe, les trompes l'œil sont étudiés pas les trompes cerveaux ( sauf par nos merveilleux "transversaux", multi-disciplinaires, partant obligatoirement, des "paradoxes" – donc ce qui irrite la lie spectatrice et conformisme dans le simplisme de son gâtisme hébété- pour faire émerger un champ de savoir!!!). La base de l'éducation devrait, ainsi, être d'apprendre les antipoisons ( par toutes techniques corporelles dont le sport ou/ et la musique) avant que de faire plonger l'enfant dans les possibles poisons des connaissances. L'émancipation avant tout ( toute outrageusement exclue de cette civilisation sans issue puisqu'elle bannit amour et intelligence!). Donc l'antipensée outrageuse d'arrogance dite "journalisme" qui ne connaît plus que les "slogans comme explications", le binarisme de choix superficiels (alors que la dialectique demeure si proche de la résolution des conflits), la réalité présentée comme un conflit inéluctable et "faut faire confiance à personne", la perversité de tenter de séparer tout le monde de tout le monde (pour la dangerosité bien supérieure à toutes les soi-disant "ultra gauches" d'une "dissociété" en place de l'associé-té!!!) , les "petites phrases" qui évitent tout débat de fond, la déchéance dans le "people" qui assassine tout possible raisonnement et est donc bien "l'ennemi n° 1" de la civilisation"…Avec cette peste tout avenir semble barré : sa haine de l'intelligence est tout à fait anormale. C'est eux ( pas le Larzac) qui vont nous "ramener à la bougie"!!! !!! Que la "gauche" se soit laissée contaminer par ce déni au réel que représentent les "arriérés médiatiques" (le principe est simple : RIEN des dominants ne doit entrer dans votre tête – à cet égard, si vous êtes anticonformiste, c'est plus aisé!) à cause de l'inaccessibilité à tout débat qu'ils secrètent – condamne carrément ces "affaissés" ex- de gauche. Dans un bistrot, à la sortie d'une usine, il devenait nourrissant d'entendre des ouvriers qui "regrettaient le temps où les tracts donnaient à penser au lieu des slogans creux actuels". Ca les "obligeait à prendre le dico pour apprendre des mots", ils aimaient "être stimulés par ces analyses difficiles". Les directions ( congelées ?) de tous les partis de gauche ou d'extrême gauche décrétant "qu'il faut se mettre à la portée des gens " endossent donc ( à notre détriment) ce "simplisme" journalistique qui ensevelit tout débat de fond, toute émancipation collective comme toute possibilité de la moindre action (im)pertinente. Dans aucun organisme ou entreprise, il n'est usé de telles "généralités immobilisantes" ( sauf dans la "com" ce qui devient preuve juridique de leur mépris pour les vrais gens). La défaite de ces dirigeants d'un autre temps, fulgure lorsque quelqu'un comme moi, avec une pensée complète, exigeante et en congruence, donc rébarbative pour les cerveaux limés, parvienne, tout de même, à se faire entendre…Il éclate, en conséquence, que de parler aux autres en tant qu'êtres intelligents se montre, seul, de gauche. "Se mettre à la portée des gens" transparaît comme de les livrer pieds et poings liés à toutes les intoxicantes manipulations ( ni respect ni amour pour eux !). Il fut, de ce fait, un temps où intelligence = exigence envers les autres, donc respect réel pour qui vous désirez qu'il se surpasse réellement. Les dirigeants de gauche sont sourds, bétonnés dans leur "protectionnisme" où n'existe plus "la libre circulation des idées" : ils pointent donc comme "le" problème central à contourner. Si la gauche perd ça ne peut venir que du fonctionnement mental de sa frange qui s'autoproclame "dirigeante" : y'a pas trop intérêt à les imiter. Ou, dit autrement, c'est leur tête qui ne va pas du tout tandis que la notre va très bien merçi. Faut que ça se sache !!! L'insolence c'est d'abord contre soi même Le drame hurlant, sous-tendu par ce "pointillisme" de départ ( seule méthode qui permette de ne rien omettre et qui se structure, ensuite, par l'art des synthèses), c'est que plus personne ne s'avère plus du tout savoir comment fonctionne la pensée ( avec tenants physiologiques, émotionnels, affectifs, moraux etc) tout comme les grands esprits du passé nous semblent, soudain, inaccessibles, hors de notre portée. Sommes-nous devenus si petits à force de mesquinerie ou par rétrécissement du cerveau ? Les derniers êtres encore susceptibles de rattraper la traîne de la pensée – que nous avons nommés transversaux, multidisciplinaires, paradoxaux ou anticonformistes – sont tellement persécutés qu'ils disparaissent toutes et tous ( même si c'est de la soft persécution – c'est bien une pression collective énorme qui les étouffe dans l'œuf ou en cours de genèse – c'est bien un "lynchage médiatique de l'ombre") – sans bruit. Ne pas "faire attention aux autres" semble atteindre un coût collectif exponentiel ( ces sales mentalités vont tous nous ruiner !). Simone Weill n'arguait-elle pas clairement que "la bête de l'apocalypse c'est la pression sociale" ( songer à user de ces auteurs inattendus ou de ces sujets improbables – être hors religion se manifeste bien plus tolérant que de secouer les autres de ces dites révélations non ? mais il n'y nulle part où le dire donc évitons vite - mais n'amnésions plus – le substrat d'où surgirent d'inappropriée façon ces nommées religions reste important : tous les auteurs et tous les sujets restent apprivoisables par la vraie gauche - aussi ?). Il faut (re)trouver l'irrévérence, l'insolence et les raccourcis : la pression sociale, actuellement, scande "plus t'es con plus t'es intelligent!", "plus tu dis rien plus c'est intéressant", "plus c'est lisse moins ça nous dérange", "toute pensée nous perturbe de plus en plus" nous avons la volonté de ne pas savoir du nouveau bourgeois gentilhomme" etc etc. Toutes les perversions se concentrent en nous, nous en perdrons toutes les autres versions, égarerons le chemin du réel ( et les moyens d'en partager la connaissance). Et, de fait, si, au bout de deux phrases les personnes sont déjà épuisées, si de se différencier ( donc d'être au maximum utiles aux autres puisque le triomphe de la vie c'est la diversité et donc son échec se montre comme l'uniformité et le conformisme!!!) c'est être "fou" ( depuis 2000,il existe une nette augmentation des "placements d'office" ayant pour motif "la différence" – pour que la "présence" d'esprit ne détecte la dérive empoisonnée où "anticonformisme = folie" !)…Si plus aucune oreille ne veut écouter un discours intelligent, si la simpliste péroraison est plus "acceptée" que votre complexité honnête, si la b.d. devient le top des "raisonnements", si se déguiser dans des "attitudes" semble plus "crédible" que de suer du savoir ; ou si toute Agora disparaît , si tout art de conversation s'évapore, si être "cool" c'est juste être coulant, soit dire toujours oui à tout le monde pour "éviter toute discussion" - le chaos informe augmente/ et augmentera chaque jour. Ainsi que nos chances de nous en sortir : sans pensée exigeante aucune issue nulle part . Pourquoi la gauche perd ? Parce qu'un trop grand nombre d'entre nous a participé à la destruction de la culture ( qui sait "répondre" à comment les formes créent les forces et comment les forces s'appuient sur les formes, par exemple) Si les forces d'émancipation ne gagnent plus serait-ce parce que le plus grand nombre aspire à l'esclavage ( qu'un autre prenne en charge leur conscience et leur cerveau ) ? Admettons que divers éléments plaident en faveur de cette explication. Ce qui appellerait une attitude toute différente des derniers irréductibles : on ne côtoie pas semblablement les addictifs à la soumission et les assoiffés de liberté !!! Paraît s'esquisser la clarté d'un chemin : seul l'anticonformisme connaît la réponse systémique à pourquoi perdons-nous tout le temps à gauche. D'abord, parce que jamais nous nous demandons pourquoi perdons-nous tout le temps. Ensuite, parce la réponse se doit d'être immense, méticuleuse et scrupuleuse, englobant tout et refusant d'oublier quoi que ce soit. D'ailleurs c'est d'ailleurs qu'ici et maintenant peut se dire !!! Le mot "question" ne vient-il pas de "queste", ce trop immense voyage incapable d'omettre qu'ailleurs reste aussi important qu'ici, qu'objectivement, la dite utopie c'est comme l'étoile qui met tant de temps pour arriver à nos regards, mais qui existe bel et bien. Dans ce recadrage qui rend joyeux, l'utopie qui s'approche à toute vitesse se nomme insolence, ce mot bruni par le soleil (in-soleilence), ce soleil si enté dans le sol…Cette insolence, cette pertinence de l'impertinence, que nous ne pratiquons plus contre nous-mêmes. A gauche, n'est-il pas d'essence de tout admettre et n'importe quoi de qui s'affiche (souvent que sur la couverture, la pochette, la raison sociale) "de gauche". La gesticulation ( cette hypocrisie du mépris qui croit que les gens sont faits pour être trompés !) l'emporte sur la pensée, la superficielle superficie sur la profondeur( d'où l'insupportable et permanent énervement de gens scandés par l'ennui du vide !). Or l'insolence est chirurgie qui enlève la lourdeur toxique et préserve le sain tonique. Actuellement, ne devons-nous pas traîner le poids mort de la sale mentalité des dirigeants de tout poils ? Ils ne sont plus "utiles" ils sont devenus "toxiques" – tournons leur carrément le dos. "Détournons- nous !" (au sens situationniste de détourner les affiches et les écrits)… Le symbolique bouffe les xcerveaux et lie les jambes : si la gauche perd tout le temps c'est parce que nous assumons trop de fardeaux encombrants. Au lieu de trancher !!! C'est parce que nous ne hurlons pas non, non à toutes les télés ( même si elles "fonctionnaient" bien il demeure plus urgent d'en tous faire une cure de désintoxication !) non à nos ennemies-les-stars ( et trop d'anomalies comme "pour elles le Ps c'est déjà l'extrême gauche", "d'où l'inappropriation de leurs paroles" etc) non aux festiveaux à programmation centraliste ET commerciale, non aux écrivains formatés, non à toute pub, non aux conformismes, non aux coupeurs de conversations, non à qui dit on est manipulés ( lorsqu'on l'est on ne peut le dire, et donc de le dire prouve votre extraction du piège alors pourquoi ne pas nous faire profiter des recettes ?) non à qui dit on n'y peut rien, ça ne changera jamais ( et toute la pelote des "refus" malsains) puisque parler comme cela c'est "clairement de droite", donc vous dites, vous l'êtes, etc non et etc non sinon non…Ecoutez plutôt aux écoutilles des vaisseaux d'aventures ! L'utile insolence c'est bien de ne plus respecter que ce qui est respectable. : seuls, les néolibéraux sont des "marginaux capitalistes", ce sont eux les "antisociaux" ennemis de la civilisation, nihilistes achevés. Ils sont les contestataires du réel, les barricadiers du social, les vrais fauteurs de troubles : encore et toujours plus corporatistes ( quoi de plus corporatistes qu'un boursier sinon un médiatique ? donc archaïques tous deux!). Il y avait complète erreur de dénominations : tout ce qui servait à disqualifier ou dévaloriser la vraie gauche ne décrit, objectivement, que la droite, ces insurgés permanents et plein de mauvaise volonté. Ce sont les voyous de la pensée, il va falloir commencer à sévir !!! vir, vires à gauche toute !!! C'est EUX l'insécuritéééééééééééééééééééééééééééééééééééééé. Quand, dans votre tête, plus rien n'existe des dominants Quand, dans votre tête, rien n'existe des dominants, vous n'intériorisez pas du tout leur calendrier ( ce qui est "décrété à l'ordre du jour" et ce qui est écarté aussi capricieusement) et vous ne sombrez pas dans le ridicule de vibrionner à la demande et toujours en retard ( vous ne faites que répondre ne menez jamais la danse, pantins ou insectes de la secte). De plus, l'imagination ( qui manque si cruellement) se trouve à vos côtés – n'étant plus jamais à la traîne vous répondez du tac au tac, toujours synchro, et l'ennemi se fatigue, enfin, de vos ripostes permanentes. Un seul exemple, lors de la tentative de mise en délit "du racolage passif" ( et il s'agit de respecter qui fait, librement, le choix de la prostitution, pas d'abandonner à la misère qui n'en a pas fait le libre choix!) – la riposte insolente (donc efficace) eût été ( sans impulsion "centrale" - la vraie gauche n'en a nul besoin!) de signaler et poursuivre (pétitions, scènes de rue, médiatisations etc), devant tous les abribus, stations de métro ou simples panneaux publicitaires, osant une femme bien déshabillée, "ma pauvre dame! devant des enfants en plus", J.C. Decaux et consorts "pour racolage passif". Les ripostes doivent être décentralisées (pas de mot d'ordre!) incessantes, pas un instant de répit puisque l'ordre capitaliste est, de bout en bout, illégal. C'est une délinquance qui ne mérite aucun respect. Donc aucunsursis. ***c'est parce que la gauche CENSURE 100 fois plus que la droite ( les auteurs et les sujets "retenus" par "ses" maisons d'éditions semblent hors d'époque et hors sujets, tout ce qui nous tenaille n'y apparaît jamais) donc la droite à "toute la place" pour continuer ses perversions. Ainsi, la principale activité de la gauche semble-t-elle devenue de détruire les êtres les plus brillants, joyeux, chaleureux, partageurs,pertinents, intelligents, créatifs qu'elle a en elle. Comme "s'ils se prenaient pour qui" – alors que, seul, de vous "croire 22 000 fois "supérieur" aux autres" par le fric apparaît dans vos possessions ( salaires et/ou revenus + patrimoines qui "rapportent sans cesse") et que les syndicats, bizarrement, "ignorent"(pourquoi? pourquoi ne pas dire l'économie telle quelle?) en déraillant "revenus de 200 fois le SMIC" ( en omettant donc les 21 800 autres d'une possession "globale" sinon comment expliquez- vous que les "produits dérivés" - dont le "gâtisme politicien" dit que, de majoritairement banquier, il devrait devenir boursier (?)– et l'on voit ce que cela change sur le manque de sérieux de fond puisque banquiers ou boursiers se disputent, seulement, le titre du "plus crétin du fric qui soit", le triomphe de la bêtise car le "fric c'est pas ce qu'on croit juste le "révélateur" de vos tares" – dont l'encours = 10 P.I.B. mondiaux par le total de ces revenus, "40 fois ou 200 fois" le Smic "hey stupid is reality!" ?) – Et après, les médias(fous ou mercenaires?) peuvent oser "tout est de la faute des bas salaires" – si vous prenez la place de 22 000 SMIC votre impact semble évident: eh bien non! "Rien n'est de la faute des riches" "Ils n'ont d'impact sur rien" "Ils sont irresponsables" (au sens psychiatrique ?) etc etc Est-ce afin de nous inciter à nous passer d'eux qui ont si peu d'effets dans/sur le réel ? Est-ce parce que si les pauvres sont si "responsables" de tout (tout est , toujours et partout, de leur faute!) qu'ils doivent,visiblement, prendre "toutes les responsabilités (la ruse de l'Histoire d'Hegel !) ? Tout ce qui est concave ne devient-il pas convexe ? Tout ce qui sort de la plate peinture et s'avance vers vous ne s'inverse-t-il pas en s'enfonçant dans l'image? Tout ne s'invertit-il pas un jour? Le capitalisme comme système des "perversions" fonctionnant à l'inversion systématique des libidos, des intérêts communs et des investissements ( et les vices privés sont bien des catastrophes publiques !) ne doit-il pas INELUCTABLEMENT se remettre à l'endroit (la répulsion collective le voyant, tout soudain, comme il est)? Tout ce savoir, nous, les anticonformistes, nous l'avions déjà mais vous avez vu comment vous nous avez traités? Avez-vous trouvé de bonnes excuses ? En un autre temps, un anticonformiste vous qualifiait de "vieilles pleureuses", tel qui se plaint du mal qu'il a entièrement créé et qu'il inflige aux autres, de surcroît. Leurs têtes ils en veulent plus : pas la peine de se servir de nous comme décharges publiques. Le fond du fond du secret de "pourquoi perdons-nous depuis 30 ans" claironne bien tel "parce que ça nous prendrait trop la tête" ! Parce que nous sommes devenu-e-s allergiques à qui fait appel à nos intelligences ET à nos sensibilités. Comment cela a-t-il pu s'instiller et se distiller ? Les derniers alibis Nous avons découvert le pot aux roses dans les conversations. Ou plutôt, les ersatz de conversations ( l'armée "d'occupation" n'abandonne que les substituts, des succédanés !) puisque les "vraies" se sont éloignées dans la vraie vie. Nous conversions de nos conversions : les conversations forment une parade puissante à la perversion de toutes les versions du capitalisme ; en elles, les changements opèrent à la vue . Alors pourquoi ces dissimulations de ces simulations (parfait outil scientifique qu'une conversation : pour 0 euro, vous obtenez le synoptique de toutes les solutions potentielles et les essayez, en plus, en grandeur nature !). Quoiqu'il en soit, des dialogues et multilogues tentés nous récoltons : tous les "procédés d'évitement des entretiens" (implantés par qui donc ?) et ces surprenantes "positions de surplomb" (implantés par qui ?). C'est à dire, que Socrate s'y fait traiter d'attardé par des téléspectateurs lambda, tous les génies du passé ne peuvent plus dire un mot puisque, à peine le premier est-il énoncé, qu'il se voit coupé par des phrases toutes faites. Pour la gauche ces phrases appartiennent toutes à la "description du monde" de l'extrême gauche (capitalisme indestructible, hyper puissant, omniscient, très malin, qui déjoue tout et "récupère" tout etc etc) . Cet inattendu partage du travail (l'extrême gauche de vitrine "sert" le capitalisme par "dissuasion interne de toutes les énergies désobéissantes", par "extinction préalable d'arguments et destruction de toute possible conversation". Fort heureusement, les non conformistes se montrent peu accessibles à toutes ces putrides magouilles et, grâce à eux nous "récupérons" (reprenons nos forces) et pigeons (isotropie de l'insolence) que nous pouvons "récupérer" tout ce que "détourne" la perversion capitaliste. Gaffe aux émancipé-e-s, ils "récupèrent" tout à la perfection ! entendez-vous partout. Ce "qu'il est supposé faire" nous le faisons bien mieux que lui – si nous (le) voulons…Exercices "pratiques" : décrypter les conversations perverties : cela nous offre … De la sorte, un petit peu du cœur à gauche (ça fait décoratif) mais quasiment toute la tête à droite LA SORTIE DU CAPITALISME SERA EXISTENTIELLE OU ELLE SERA EXISTENTIELLE "Parce que la domination n'est pas simplement l'expression, en termes politiques, de l'exploitation économique, elle est son instrument, et dans une large mesure la condition qui la rend possible ; la suppression de l'une s'accomplit par le discernement exhaustif de l'autre." ( p 70 Michel FOUCAULT dans De la nature humaine : Justice contre pouvoir" – L'Herne – entretiens avec Noam CHOMSKY.). Ne pas utiliser sa tête rend donc bien ennemi de tous les autres. Ca prend la tête : tant mieux, tant mieux, elle est justement faite pour ça. Aussi, n'est-ce pas très très progressiste que cet avachissement qui va avec les divertissements permanents, et qui provoque, très soudain, une immense nausée après ces hédonistes plus qu'incohérents. Voyons et convoyons. Forts de leurs manies des expressions toutes faites, nous sommes bien au courant que beaucoup trop de gens ne veulent plus de leurs têtes ("penser leur est un tourment" ). Aussi, ne doivent-ils plus s'obstiner à nous entraîner dans leur déchéance. Vive l'intelligence et ses vrais écrivains ! Vive les mots d'esprit et l'esprit des mots ! La gauche ne connaît rien de l'économie et des chiffres La gauche ne connaît rien des rouages réels de l'économie capitaliste ( lorsqu'elle est à 70 % psychologie !). Nous avons essayé de le faire comprendre, dans des "Rien de plus solide que le solidaire" (macroéconomie), ou encore "La queste des questions : qui a démunis les démunis? qui a déshérités les déshérités? qui s'est emparés des désemparés?…"(topologie de l'économie) ou bien "Le roman de l'économie"…que vous pouvez trouver sur internet en formant freethewords.org. Lui échappe la nature réelle de l'économie ( système de rotations, ponctions sournoises de la caste illégale des trop riches sur l'argent public – 15 % nets depuis 1975 -, utilisations frauduleuses des médias, circuits des désinformations dont les diffamations etc etc) – d'où les "généralités" qu'elle invoque ont tout faux même le pompeux inapproprié de ses poses. Mais c'est que la sociologie, par exemple, n'est plus, publiquement, qu'un tissu de mensonges et de si visibles impossibilités : ainsi l'escroquerie des "classes moyennes" comme "contenant" 60 % de la Société, entre 1175 € et 2600 € par mois. Le but est de "prouver" ( la pourriture morale de qui n'éprouve plus rien c'est qu'on peut lui "prouver" n'importe quoi : lorsque vous n'êtes pas "alignés" tête-cœur-corps vous ne pouvez valablement "résister" à la toxicité fanatique du capitalisme ! "et l'ont voit, partout, les conformistes – inverseurs des valeurs - faire la leçon à Socrate" – Les céfrans parlent aux français)- que le capitalisme supprime réellement la pauvreté. Il est abondamment démontré qu'il l'augmente tout au contraire, entre les pays et à l'intérieur des pays, lorsque "la misère chasse la pauvreté" ( la pauvreté est un choix d'esprits nobles, la misère subie est une dictature sociale inadmissible!) – pour qu'il soit inutile d'insister sister. Sauf que le seul alibi du capitalisme était de "supprimer la pauvreté" : comme, visiblement, il l'augmente, il ne peut plus se cacher derrière le moindre irréalisme ( il porte les irréalismes au sommet !) i Donc il "crée" des classes moyennes à la pelle ? Sociologiquement ( lorsque la sociologie était indépendante) les "classes moyennes" ce sont les classes de l'imitation des riches, de la "distinction" : suivre les modes, avoir le dernier vêtement "ordonné" par la dictatoriale revue LL, le dernier ordinateur Pentium, la nouvelle série automobile etc, culturellement, c'est suivre les "ordres" des généraux pinochetins de magazines "de gauchette", théâtres, voyages "in", etc. Mazette ! avec 1175 € vous pouvez "suivre" cet effréné rythme aliéné ? même avec 2600 € d'ailleurs ! De ce fait il n'y a plus du tout de classes moyennes. Preste preuve ? la consommation alimentaire est "en sablier" : rien au milieu ! Pourquoi la majorité s'entête-t-elle dans le mauvais sens ? Elle ne lit pas qui il faut et n'écoute jamais les "esprits collectifs" Comment la majorité a-t-elle pu se fourvoyer à ce point ? Nous sommes, effectivement, encerclés, cernés de milliards de mots et de milliards d'images ( ce sont bien les signes de la présence permanente d'une armée "d'occupation" : dans cet environnement, vos "préoccupations" vous décrivent infiniment mieux que l'attardé " d'où parlez-vous ?" ( toute persistance de "formes" dépassées vous rend ennemi "objectif" du "progressisme" – et les vitrines de tant de "déclaré-e-s de gauche" n'est-ce pas la persistance poussiéreuse de telles vieilleries inutilisables ?)). Facile dans un tel contexte d'être manipulé-e-s , fourvoyé-e-s, désinformé-e-s, trompé-e-s ou "retourné-e-s". Pourtant, tout repose dans les attitudes que plus aucune "excuse" ne masque ( "je n'ai pas fait d'études" – ok ! Ce n'est pas une raison pour se conduire comme un salaud ! "je ne sais pas parler", ok ! vos comportements parlent autant que les mots ! "je ne fais pas de politique/ de philosophie", mais qu'est-ce que cela a à voir avec ce choix pratique que nous essayons de mettre en place, ici et maintenant ? vous refusez toute implication-explication, tout engagement tout en vous laissant "vampiriser" par les médias qui "exigent" 1000 fois plus de vous, là c'est total implication-duplication-complication, c'est total engagement jusqu'au fond du crâne ! où se trouve votre cohérence ? vous et moi, savons que vos mots malsains déroulent juste la panoplie de tous vos procédés ( implantés par qui ?) de "refus des conversations" que vous nous étalez, "ça ne montre que votre extrême mauvaise volonté et vous n'êtes plus du "bon côté"" etc etc). Car que voyons-nous ? Vous avez passé plus de temps avec vos "ennemis économiques" ( les télés) qu'avec votre entourage, vous connaissez plus nos-ennemies-les-stars que votre quartier. Sans cesse vous planez ailleurs que dans la réalité tout en nous jouant le coup du "moi je ne suis que dans le concret" (or sans le global, impossible de comprendre goutte !). Vous n'avez jamais aidé à rien, participé ou contribué à rien : votre unique obsession se montre comme d'occuper tout le langage pour vous "donner toujours le bon rôle" et "que vous soyez toujours du bon côté". Manque de bol pour vous : l'hypocrisie, la duplicité, la fausseté sont démasquées du seul fait que n'ayez jamais "participé" qu'à la plus grande délinquance possible : "la consommation". Vous êtes les voyous réels du 21ème siècle : fuyant toutes responsabilités de vos actes ( plus t'es riche plus tu pollues, plus t'es star plus tu pollues, donc les "imiter" beûrk ! Beûrk !) qui vous rattrapent tous lorsque les paradigmes changent : tout d'un coup, on ne dit plus "combien tu gagnes ?" sous-entendant qu'être riche est sommet de vie mais " combien tu nous coûtes" ( le riche coûte très cher à la Société : c'est bien devenu une "tare") ou bien "combien tu pollues ?" et trop riche passe plus du côté de la maladie mentale et de "l'attardé social", il y surgit l'indice d'une "pensée voyou" lorsque "l'empreinte écologique" est toute raison et la "croissance tueuse" irrationalité toute etc etc Nous ne pouvons tout dévoiler d'un seul coup…Poursuivons l Les organes de manip et de propagande ( 10 000 fois pires que les "flics" en fait !) ? Ce que nous voulons c'est ce qu'ils ne veulent pas. Et, inversement, la vraie intelligence c'est ce qui "libère" la tête de toutes les inutiles tensions comme de tous les détours superflus – démultiplicateur des "forces". En d'autres temps, nous nommions ce prodige "la droiture" ! La réalité reste isotropique Aujourd'hui c'est tout l'inverse nous sommes en retard sur toutes les périodes précédentes, nous régressons culturellement : nous descendons toujours plus bas dans la médiocrité. L'existentiel et le culturel précèdent toujours : d'où c'est "un crime contre l'Humanité" de délaisser les "contenus" entre les mains de l'incompétent radical et non fiable commerce Tout est rabâché et gâché, plus c'est faux plus ça continue, toute nouveauté est durement pourchassée ( rarement l'Histoire nous a montré des persécutions aussi imméritées), comme si tout le monde "devait réciter sa leçon" ( preuve scientifique par induction de la présence d'un dictateur caché – même une "entité" due à la conscience collective…) …Le comique de ce vibrionnement archi stupide pourrait sembler "comique" s'il ne ressemblait pas à un suicide collectif. Aussi, désormais, nous savons comment procéder : trouver qui a le plus modifié l'usage de ses sens, repérer qui a le plus profondément labouré les arts, qui porte la joie pour tous, qui est entré dans l'usage gigantesque du corps (hors des oripeaux peu seyants du "développement personnel" – apprenez donc à jeter tout vocable "marketing"), qui a "vécu" l'espace et le temps, qui a brillé et qui a le plus "rencontré", qui a cherché les conversations, qui n'a jamais cédé sur l'importance des mots etc etc etc etc Et nous aurons les prémisses "existentiels" – donc culturels - à la sortie réelle du capitalisme. Ce n'est pas parce que des religions avaient occupé, d'inappropriées façons, de vastes espaces subjectifs, que des potentiels humains bien laïcs – et l'on peut se surpasser laïquement ! – ne doivent pas être utilisés…Les hédonistes (faire croire que le capitalisme crée du plaisir alors qu'il n'est que catastrophes inexcusables, par exemple olfactives) ont tout faux, ils sont ridiculement non crédibles : les consensualités dépendent bien des sensualités…Epicure reste dans le vrai, la joie et le bonheur supplantent aisément les plaisirs très limités de n'être que quantitatifs ( d'où "souci" comme dé-plaisir ? encore, la nécessité barbare du fric pour les "plaisirs" alors qu'Epicure surnage par "être heureux avec rien", autrement dit la pauvreté comme bonheur absolu ! dur, dur de saisir que "les au devant de la scène" avaient tout faux, mais faux à ce point d'enlisement là !). La sensualité réelle participe du Sens qui est, aussi, sensé (le goût de la Raison dans la bouche), sensitif ((se)mouvoir siège dans émouvoir), sensible (les affections affectent à bon escient) et sensationnel (toutes les sensations sont sensationnelles). Une autorestriction financière semble très bien s'allier à cette vie "mouvementée" et, désormais, tout répugne dans le capitalisme gangstérisé, qui horrifie tous nos sens ( les hédonistes sont d'acharnés antisensuels beûrk !). La fureur communautaire ne jaillit que contre le changement (nécessaire) de "style de vie" : pourquoi se tromper à ce point ? Sauf – sur, peut-être, le "changement des styles de vie" : là le refus apparaît massif, obstiné, buté, comme si le réel ( irrationnellement) se massifiait… Quelques indices pour votre "compréhension" : dans un journal de la décroissance, une personne affirme "pour ma voiture c'est non négociable" ( se trouvant ainsi en triste proximité avec un très toxique partisan de la destruction de la planète, le Bushman- ainsi, combien d'étiquetés libertaires se révèlent très consommatoires péremptoires !). Ou bien, partout, les médias béatent ( hors toute réalité) de "luttes massives pour la planète" alors que des enquêtes serrées ( styles vrais écrivains) soulignent que très peu de personnes se mettent à vivre très écologique. Pire même : l'écrasée majorité ne va pas du tout en direction d'une vie plus "propre"…Les leçons : les médias de toute urgence doivent être régulés ; ils pratiquent la destruction en grand des intelligences et des esprits critiques ( ici, dire "écolo" c'est se dédouaner d'avoir à le faire ; là, les virus touchent au mortel, à force de répéter que "tout le monde lutte pour la planète" ces fous avérés vont finir par le croire et ne toujours rien faire !) Le (non) changement des styles de vie donc devient le point crucial, le lieu des basculements, le noyau des intenses chaleurs. Beaucoup s'y voient DEMASQUES : impossible de se prétendre de gauche avec une "empreinte écologique" de 10 personnes, empreinte qui agrandira, de plus, sa macule. Impraticable de se briguer de gauche si vous soutenez "objectivement" ( même si vous rectifiez verbalement : suffit pas de dire "à bas les flics !" pour se voir "certifié-e-s de gauche", tout au contraire !) les forces "réellement" anti-démocratiques ( médias et éducation antinationale, dans la situation actuelle "pires que les flics" ou "à rappeler plus à l'ordre que l'esprit collectif s'autorise à faire pour les flics") des financiers qui dirigent le monde sans "être élus" des politiciens qui "laissent faire cela" et du "spectaculaire marchand" qui se situe en pleine irresponsabilité délinquante …Pour le moins. Donc le front buté ( et sans argument raisonnable – uniquement égoïstes !) du refus de changement de style de vie. Tout change ( le climat) mais les mollusques scotchés à leur rocher s'entêtent à poursuivre leur suicide de ne pas changer ( le problème c'est que ce suicide n'est pas détachable, ce serait aussi le notre ! d'où l'urgence de savoir qui réellement opte pour le changement REEL de style de vie ( pas le changement médiatique !) ?). Le refus de changement de style de vie s'allie avec le "laxisme des pauvres" . Oui, il demeure confondant de saisir à quel point les "pauvres" excusent bien trop largement les puissants, leur donnant des "circonstances atténuantes" que ces brutes n'accordent que, si rarement, aux floués du système. Le "noyau dur" de ce qui nous empêche de gagner repose, en entier, dans la problématique du style de vie . Les hypocrisies incachables qu'étalent les "gens de gauche" à ce sujet deviennent les pires arguments contre eux ( pourquoi choisir ces double-jeux – un coup bien un coup pas bien - au moins & Traité de savoir- faire à l'usage des émancipé-e-s ( techniques de la victoire) Nous savons, limpidement, que "ça" se fera, que "ça" se fait déjà, que des êtres sont "passés", que d'autres sont en train de le faire, que beaucoup deviennent susceptibles d'y parvenir. Nous possédons, aussi, les rudiments des pièces et main d'œuvre qui vont permettre l'avancée collective et nous savons que c'est le début
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No model for this journey which can receive so many differences as Robert Musil, François Châtelet, Jean Pauhlan, J.G. Ballard, Annie Le Brun, D.H. Lawrence, Serge Brussolo, Emile Durkheim, Richard Hoggart, Mancur Olson, Félix Guattari, Pierre Klossovski, Anne Sutherland, Paul Lafargue, prince Kropotkine (because is not social origin which count but the man) - had made, each, for Humanity more than 10 000 conformists.
Ces pages ont été "scannées" - c'est à dire numerisées à partir d'un texte tapé à la machine à écrire - leurs qualités sont moindres.
Ceci n'enlève rien au serieux du travail de l'écriture.
Where to find anything serious ?
The biggest storms, that financial, banks and Stock Exchange diseases brought, cannot find any serious explanation. They are sick but they can "explain" it (ex plain) only making us as sick as them…We just saw the triumph (in the top of Society) of incompetence, irresponsibility, unfitness for reality, childish minds and no guts at all. We don't really wish to be like them: success story as every thing rotten in them!!! We (the last adults) just ask "Where to find anything serious?" in their inexcusable desert.
At least, if not in acts, in comprehension! For the moment, it's because (be cause) of nobody, of none mentality, way of living or managering : it's only magic, extra terrestrial, coming from nowhere and created with invisible!!! Exactly as the shameful "invisible hand of the market" who describe the work's sharing absolutely not money streams. So "invisible hand of the market" doesn't exist nowhere: just addiction's fall. If you want to know how rich is your country you must remote all money that flows, because money is not riches but only the measure of it. So they made a decimal or a kilogram the extra terrestrial money. All stupid capitalism is metaphysical : nothing serious in it. Only good for nasty puerile minds. Financial diseases only illness that true adults must attend . Our money is too serious for that madmen couldinfect it….
Reality (this wonderful won-doer!) shows that irresponsibles medias built the "golden boys", that, years after years, they asphyxiated us with that virus. So, they have created, alone, the mental environment of financial's implosion. They must pay for that: nobody else! Choice for those rabid fanatics : jail or psychiatric hospital?
Discoveries of the true story as a love affair, full of sensuality, you can find it in this new way of writing. The gift is that you breeze the serious as if in a mountain!The diamond is how your eyes could be - not the material piece of coal…
Pour cette vaste recherche nous avons visité à fond tous les concepts de l'économie politique (extraits) La place scientifique de l'argent. Son lieu dans le réel. La sonde Hubble nous a ramené pléthores de documents de l'univers, nous avons pu aller, récemment, aux fonds des océans, et, encore, nous avons récolté nombre d'informations sur les règnes minéraux, végétaux et animaux. Notre connaissance de nos environnements est immense. Pourtant, nulle part nous n'avons trouvé présence d'argent. Pas la moindre trace. Il n'est absolument pas universel. Mais se situe au niveau du très local. Localisé, uniquement, chez les êtres humains. L'argent n'existe donc pas. N'existe pas au sens universel. Cette évidence semble pourtant "évidée". Or les dérives empoisonnées qui surgissent de cette mauvaise hiérarchisation du réel font rage, surtout, dans les classes dirigeantes (quel bien être que d'en être protégé!). Ainsi, délirent-ils que "l'économie est naturelle". Aller jusqu'au bout du raisonnement implique que la Nature n'est pas naturelle, mais entièrement artificielle. D'ailleurs, ce sont eux qui ont créé la vie et la Nature, démiurges complets, et, sans doute, tout l'univers. Seule l'Economie existe! Ce poison virulent de la "croyance" hallucinée en l'argent peut conduire à la destruction de la Nature "moins réelle que l'Economie", ainsi qu'à celle de la vie "moins réelle que l'Economie". Peuvent être détruits toute civilisation, toute Société, tout rapport social, même tout rapport humain le plus quotidien pour quelque chose qui n'existe pas (nihil): l'argent! Les plus grands nihilistes du monde, destructeurs potentiels des sociétés sont donc bien l'argent et l'Economie. Bon. Maintenant que nous avons perçu que l'économie n'est pas naturelle, puisque nous n'avons pas pu prouver l'existence matérielle de son principal support, l'argent, nous comprenons que la place scientifique de l'argent est très locale, si "provinciale", si plouc par rapport à l'univers. L'Economie ne peut plus rien diriger, impossible de lui faire confiance (nous allons découvrir à quel point tous ses concepts sont grassement erronés!) !!! Ce qui conduit au classement pratique de l'argent dans les "croyances", entre contes de fées et bouffées délirantes. "Croire" à l'argent, qui ne peut être un fait scientifique, peut, aussi, conduire au fanatisme si vous ne savez le hiérarchiser dans la "globalité". A cet égard, seul le 18ème siècle surnage qui faisait de "l'Economie que humaine" un sous sous système de "l'économie de la nature" – ce qui semble pétri de Raison. La Vie et la Nature peuvent se passer de nous en se grattant de cataclysmes. Nous ne pouvons nous passer d'elles (nous ne serions pas en vie et la Nature reste le nid inévitable de cette vie!). En aucun cas l'Economie ne reflète les "lois" de la Nature et ce ne peut être une science. Tout au plus, une superstition, une irrationnelle croyance. Et il parait toujours plus raisonnable de se méfier franchement de qui "croit" que l'argent existe : la "valeur" inscrite sur le papier monnaie est entièrement fictive – tout au plus "vaut"-il 0,78 € de matériau et pas 50 ou 100 € . C'est une fiction que vous êtes libre de "croire" ou non. Le changement de mentalité ne peut qu'être bénéfique à la planète (…) L'économie ne connaît rien de la réalité. Mais rien c'est rien. C'est une antiscience. Une insurgée nihiliste qui dénie, renie le réel. Ainsi, est-elle inapte à prendre en compte tous les services offerts par la biosphère. Pour elle, la Nature est une non existence passive, elle ne possède aucun savoir, ni même des processus informationnels. Il ne faut pas s'occuper d'elle sinon pour lui dévaliser, extraire toutes ses richesses que la mégalomanie furieuse de l'Economie va prétendre siennes (de quel droit ? pouvez-vous nous montrer les actes de cessions ou les baux ? et pourquoi ne seraient-elles pas nôtres aussi bien ? quel est le sens de votre frénésie propriétaire ?). Résultats : ce que la Nature fait à la perfection, la technologie va dépenser des fortunes, en gaspillant des richesses qui viennent toutes de la Nature et qui ne sont jamais "créées" (quel délire une fois encore ! les richesses "créées" seraient donc extraterrestres ?) mais juste transformées pour aboutir à des résultats bien inférieurs, bien plus sommaires que l'existant naturel. L'inexcusable irrationnel du "maître et possesseur de la Nature", en viciant le fonctionnement de l'esprit, est parvenu à ce fanatisme enragé. Comme qui croit tout savoir et refuse toute leçon, l'économitechnologie "ignore" (refuse de connaître, dédaigne, méprise, regarde exprès ailleurs) les immenses sagesses de la Nature. Le système naturel de filtration des eaux, le stockage du carbone par les forêts, la prévention de l'érosion et des inondations par la végétation, la pollinisation des plantes par les insectes et les oiseaux etc etc.– demeurent d'insurpassables "serviteurs de la vie" mais – irrationnellement - ne servent même pas de modèles de respect "durable" des équilibres (respect "durable" plus crédible que le développement puisque moins utilisable dans des sommets d'hypocrisies!). A nous donc de secouer l'irrationnel des dangereux délirants de l'économitechnologie : ils ne sont absolument pas sérieux, pas sérieux absolument. (…) le profit, nihiliste illusion. Au niveau "global", en effet, le profit n'existe pas. Comme le disait, excellemment MONTAIGNE "tout gain se fait toujours au détriment de quelqu'un". Dans un monde fini, dans une masse monétaire finie, il n'y a pas de "création de richesses". Elles sont déjà là! Judicieusement, Thomas PIKETTY a étudié la "création de richesses" de la Bourse. Résultats : 0,10 % en un siècle. La Bourse ne crée pas de richesse mais vit en parasite sur l'économie réelle. 95 % de son "activité" (sic), d'ailleurs, est de la délinquance pure, puisque ce n'est que de la spéculation. Il serait très raisonnable de se passer donc du système boursier. L'incohérence complète qui se dit "médias" détecte (quel magma d'anarchies et d'impossibilités logiques que ces arrogants médias qui refusent de rendre des comptes!) la baisse de la création de richesses dans, osent-ils, un "ordre" décroissant, serait due aux "prix élevés de l'énergie et des matières premières", ce qui, déjà, est une aberration : pétrole ou matières "premières" ("premières" dans la nécessité absolue alors que l'homme serait matière secondaire ou tertiaire il faut le savoir!) sont des richesses réelles, les perdre en les consumant c'est "détruire de la richesse" non la créer. En plus oser y coller un prix c'est partir dans le délire (…) Le profit est donc un concept entièrement puéril qui doit masquer et "ignorer" les 9/10 de la réalité pour se "croire" réel. Votre "profit" est toujours payé par quelqu'un d'autre. C'est donc la notion la moins sérieuse qui soit. Aucun adulte digne de ce nom ne peut plus tolérer cette folie furieuse nommée "loi du profit" – ce n'est pas une "loi" et le profit est la plus grande des stupidités indigne de figurer dans un programme politique. (…) la consommation n'est pas une croissance. Aussi, faire de la consommation "le principal" moteur de la croissance" est-il un signe évident de détérioration mentale. Encore, une faute politique qui oblige à "démissionner" les irresponsables qui en usent. Puisque le tragique inexcusable de la "croissance" c'est qu'elle est devenue l'outil automatique, dépersonnalisé, robotifié, hors toutes discussions, mais avec le maximum de déresponsabilisation. De là provient la détermination du taux de tout revenu (salaires, allocations et seuils divers etc etc), taux livrés aux atopiques délires de la "croissance". La consommation est une diminution, une destruction des matières et richesses premières de la Terre, elle est le contraire d'une croissance. Au point que sa "croissance" proliférante est un danger pour la survie de la planète et de la vie. (…) Compétition cum avec, qui participe de, pétition, la plainte, la râlerie sempiternelle, le bal des pleureuses, les gémissements ou les doléances qui vous destinez à qui ? Ne serait-ce une transcendance, un arbitre extérieur qui ne participe pas à la mêlée : bref l'aveu d'un échec complet pour qui bramait le tout immanence, la résolution complète par l'horizontalité du tout le monde également informé et la magie régressive "de la main invisible" qui sait tout, qui ordonne tout. Bref le fiasco complet. Compétition met en miette le fonctionnement même de la compétition. Il n'y a nulle main invisible que les mains sales de la malhonnêteté, incapable de se débrouiller-elles mêmes, mais toujours à s'élancer vers un grand extérieur, une forte transcendance qui doit, sans cesse, réparer les dégâts causés par l'inextricable mêlée, l'indénouable écheveau appelé compétition. Cet échec flagrant de l'économie capitaliste (de se profiler compétitif), le comble du chaos et du désordre, ou bien le comble du tout inefficace, qui, partout, provoque des catastrophes dominos, sert de pub pour sa dissolution. Ensuite, nous avons été vérifier (ce n'est qu'un mythe tout à fait bidon) "l'efficacité" du privé. Cela donne (…) Gagner de l'argent reste l'attitude puérile, irresponsable, irréfléchie et ne pouvant se passer de l'expérience et de la sagesse des autres (pour réparer ses dégâts), donc se plaçant bien, ontologiquement et pratiquement, en dessous – avouant que ce n'est qu'un jeu pas du tout sérieux que l'argent. Un parasitisme incessant. Dépenser le capital de la vie et de la planète n'est pas du tout un jeu : c'est du sérieux ! Qui s'acharne donc dans les délires destructeurs ? " Le comportement rationnel peut également dicter à des élites repliées dans leur sphère des décisions nuisibles au reste de la société à l'écart de laquelle elles se maintiennent" (Jared DIAMOND – "Effondrement – comment les sociétés décident de leur disparition où de leur survie" – Gallimard 2006 - ibid. p 492, où toute personne, attentive et sans préjugés, pourra y ajouter bien d'autres pour notre édification collective. (Fichier interactif "le privé ne peut diriger le monde") Mais quel est ce comportement rationnel ? (...) on veut ignorer un mauvais statu quo parce qu'il résulte de l'application de valeurs auxquelles on tient profondément. La realpolitik, politique réelle (la politique de gouvernement) devient donc la politique irréelle (la politique d'antigouvernement). "La persistance dans l'erreur", "le raidissement", "le refus de tirer les conclusions qui s'imposent à partir de signes négatifs", "l'immobilisme", "la stagnation mentale" sont quelques symptômes de "l'effet de ruine" : entièrement dû à l'entêtement à abandonner une politique dans laquelle il a été beaucoup investi. Nous savons désormais que les élites vivent à l'écart des conséquences de leurs actions. Un seul exemple suffira-t-il ? "Derrière ce type de privatisation, il y a la confirmation erronée que l'élite ne peut pas être affectée par les problèmes de société qui l'entourent." (Ibid. p 577) Une vraie pensée de fou !!! Résumons-nous : le problème mondial actuel le plus dangereux est devenu la mentalité obsolète de tous les dirigeants. Ces dirigeants ont, massivement, perdu tout sens des réalités. (…) Ce qui est décrit, ici, c'est la tendance structurelle du privé à l'incapacité à "globaliser", à traverser les vraies synthèses. Non ses possibles réussites. "Une question qui sera récurrente dans cet ouvrage, lorsque nous tenterons de comprendre pourquoi des groupes dans une société donnée commettent des actes dont ils savent qu'ils auront des conséquences néfastes pour l'ensemble de la société. " (p 51) Ici, ce sont les compagnies minières qui ne procèdent pas au nettoyage des sites, après exploitation, comme elles s'y sont engagées. Pour se faire, elles n'usent que des arguments irresponsables que nous avons tous déminés dans la première partie. Après l'émission de ces arguments bidons "dans les deux cas, soit le site minier et sa région en aval restent toxiques, mettant ainsi en danger la population, soit le gouvernement fédéral paie pour le nettoyage" (…) p 51. Quant aux fauteurs de trouble, aux dangereux troublions sociaux ils déclarent leur société en faillite, dissimulent même leurs actifs et se reportent sur d'autres sites. Tout recommence donc comme si de rien n'était. (…) 90 % des travaux d'aménagement urbain ont un résultat contraire aux objectifs. Encore, au-dessus de 1,6 million d'habitants dans une ville, les coûts de tous travaux d'aménagement urbain deviennent exponentiels. Les leçons seraient de ne vivre que dans des villes moyennes et d'éviter, au maximum, toutes les conurbations et les mégapoles. Seuls les plus pauvres et les moins instruits doivent "apprendre" : quelle nuisible aberration !!! L'entêtement sournois, qui caractérise les fanatismes refusant toute remise en question, fleurit alors. Les délires du Privé entraînent à, trop souvent, faire l'inverse du raisonnable. Le "coût global" (qui dévalorise les…"profits"(sic) ) se voyant toujours reporté derrière l'horizon. Ainsi, reste-t-il plus qu'anormal, que ce soient, principalement, des écologistes qui se préoccupent des conséquences des activités humaines, du gaspillage des ressources ou des limites RATIONNELLES de la croissance. "C'est pas leur boulot", dirait la voix du bon sens. Anormal et preuve de l'irresponsabilité collective du Privé. Rien de sérieux à attendre d'eux sinon les cataclysmes à la chaîne. (…)le privé inverse dangereusement les priorités (protéger la vie et la planète reste plus urgent que son enrichissement SANS ISSUE). Il ne renvoie du réel que de trompeuses apparences : un compte en banque impressionnant peut cacher un cash flow négatif, un industriel qui apporte des "profits" peut avoir un coût masqué (coût en capitaux, forêts et sols) très déficitaire, son "enrichissement" personnel n'est pas une preuve que la Société marche bien. Le simplisme généralisé qu'apporte le Privé détruit les capacités de raisonnement, l'esprit critique, la juste estimation des équilibres : il réduit dangereusement le front du futur collectif. Il détruit la cohésion sociale : la notion de réussite est faussée, elle ne permet aucune comparaison réaliste et met à sac l'essentielle valeur "d'honnêteté" (qui a encore "confiance" dans les banques, les commerces et les médias ? Or sans confiance pas de vie sociale possible !). (…) Le privé reste non réceptif aux besoins collectifs. Métaphoriquement, c'est comme l'habitant d'une cabane assez haut dans la montagne qui a plusieurs activités, tannage des peaux, minerais, papier etc. A chaque fois il déverse ses eaux usées dans la rivière. Comme il est pêcheur, il descend, parfois, plus bas : mais tous les poissons sont morts et il crie contre l'inconscient qui ne voit pas plus loin que le bout de sa cabane. Encore, nous avons parcouru les médias comme des organismes absolument malades . Voici les perles du diagnostic … Rien ne changera jamais. Proférée par qui veut se montrer simple, si réaliste, cette phrase, tout au contraire, devient signe de sa furieuse mégalomanie. N'a-t-il pas une connaissance panoramique et omnisciente du passé du monde, il connaît aussi bien tout le présent, et, en plus, montre avoir un don de divination sans limite, plus puissant même que tout divin. Qui use de malhonnêteté intellectuelle, pour refuser les conversations (premier pas vers une démocratie "participative" (sic)), se voit toujours rattrapé par un gigantesque ridicule. Résultats : nous savons tout sur lui, lui qui cherchait à vous rabaisser ou à trouver l'endroit où faire mal, se voit encerclé par les nausées qu'il inspire. Rien ne changera jamais : nous sommes sûrs qu'il fera tout pour. Tout pour que rien ne change. Beurk ! Une fois de mieux : toujours aucune information sur nous. Les journalistes se voient aussi disqualifiés et sources d'homériques rires à scruter leur vocable. + les infos. Ce qui a mis la puce à l'oreille ? C'est leur monopolisation du droit à classifier certaines parties de la Société comme "corporatistes". Et pas d'autres : quels manques de persistance dans la méthode – leurs infos biaisées "ne valent rien" et s'ils mentent sur ça ne mentent-ils pas sur tout ? Car quoi de plus "corporatistes" que les journalistes, les médias, les financiers, les banquiers, les stars ou les politiciens ? Vous connaissez le comble du corporatisme : c'est d'augmenter unilatéralement de 170 % son salaire tout en prêchant l'immobilisme financier pour les autres en sécrétant toute une législation. Résultats ? Si des présidents prennent (revenus et patrimoines) autant que 1 million de bénéficiaires du RSA, sûr que la part de ceux-ci va se racornir. Budget public = une masse finie, donc budget privé =…Ce sont bien eux les vrais "corporatistes" : ils refusent tout le réel changement de la démocratie décentralisée. (…) A vous de contraindre les médias à ne plus dire "grogne sociale" – arrière pensée, une meute vociférante et incapable de dire quoi que ce soit de sensé - au lieu de "mobilisation sociale" pour des revendications justes et bien structurées qu'il faut, absolument, entendre. "L'image" adressée au "bon destinataire" montre, alors, ces journalistes (ceux-là, pas tous!) comme meute de chiens mécontents et aboyant bien trop fort après le "droit de grève" noble et bien légal, au lieu de "usagers pris en otages" – donc kidnapping, donc grève = délit. Encore, au lieu de "progrès""dérèglements du capitalisme", "guerres immondes et injustifiables" au lieu de "frappes chirurgicales" ou le barbare "guerres propres", "assassinats inexcusables de civils" au lieu de "dégâts collatéraux","résistant" au lieu de "subversif" puisque n'est subversif que le capitalisme entièrement PARASITAIRE, "licenciement abusif" au lieu de "dégraissage" etc.- en rappelant bien le glissement d'Amérique latine où "drogadictos" (addictifs) s'est vu délogé pour "desechables" (déchets, détritus – qu'on peut donc si "facilement" "nettoyer" ou faire assassiner par l'extrême droite ?), "bureaucratie inerte et pesante du capitalisme parasitaire"au lieu de "management"…etc etc (…) Tu es en avance. Trop en avance. Pourquoi ne survient-il pas, dans un cerveau qui assène de tels précipices, que pour pouvoir l'affirmer, il faille, au moins, avoir une omnisciente vision de tout le panoptique historique. Il faut tout savoir sur tout. Bref, pour pouvoir, honnêtement, dire à quelqu'un qu'elle/il est en avance (trop en avance!) il faut être encore plus en avance. Et même englober les différentes façons d'être en avance. Et alors pourquoi vous reprocher ce qu'il fait en pire ? De quoi ne pas pouvoir éviter "d'assumer" un peu de ce que vous "assumez" réellement (du fait d'être crédité d'être en avance : ce qui ressemblerait, bizarrement, à un lourd handicap retardataire!!!). C'est bien juste un "interrupteur de conversation" (un "discréditeur de la parole émancipante"!), qui ne correspond à rien, tel ce regard qui accommode sur le vide. Mais qui implique une attitude en surplomb qui se voudrait inaccessible, une mégalomanie sans limites : bref, le complexe de "la personne simple, sans culture, qui se veut les pieds sur terre" et qui se révèle "compliquée, évaporée, absolument tordue d'abstractions et d'un orgueil caché gigantesque"…Comment mieux le ressentir encore sinon en symétrisant ? S'il était vrai que vous fussiez "en avance" cela déduit que d'autres serait "en retard". Vous ne pouvez faire exprès d'être en avance mais arborer "en retard" dénote une tendance à la mauvaise volonté, à l'inertie douillette etc. Voulant vous discréditer (dans l'inversion générale qu'est la régression capitaliste, toute qualité devient un défaut!), par effets de réverbérations et de ricochets, c'est la servitude volontaire qui se voit aspergée de tous les ridicules. La perle de ces régressions infantiles revient à Mme Dominique Voynet avec son "avoir raison tout seul et en avance c'est avoir tort". Le corollaire (la seconde moitié de l'image, la complétude du réel) c'est "avoir tort tout le temps et en masse c'est avoir raison". Voilà qui annule tout l'héritage mondial des arts et des sciences, tout l'héritage des Lumières et de 1789, toute la valeur progressiste de la vérité etc. etc. N'est-ce pas beaucoup pour une seule personne gavée de mauvaise foi ? Enfin (pour une fois) les "solutions" ne constituent pas 3 pages à la fin d'un livre ( preuve de non pensée!) mais, ici, plus du tiers du volume. Pourtant, comme il semble qu'il faille parcourir le reste du livre avant que ces "solutions" soient le plus productives possibles , nous ne vous en donnons que 3 extraits … (…) Le nouveau paradigme irradie comme de REDUIRE les activités humaines au maximum, de les limiter aux normes restreintes de l'économie des besoins. C'est l'avenir de la planète qui décide. L'argent fait l'objet des méfiances les plus vigilantes (il se déguise en sérieux mais reste bien l'objet social le plus frivole et irresponsable qui soit). Le travail, à fort potentiel polluant, n'est plus structurateur de la civilisation vu qu'il faut le réduire, le diminuer au maximum, la paix sociale advient par le revenu d'existence et l'économie des besoins, le maximum de la vie sociale se voit donc structuré par l'apprentissage personnel et collectif de la préservation de la vie et de la Nature, les buts collectifs changent du tout au tout…etc etc. (…) êtes-vous vecteurs d'aliénations ? Si vous n'avez pu accéder, aisément et joyeusement, au III-1 et IV-3- , c'est que, sans doute, vous êtes vecteur d'aliénation. Le refus rigide des leçons de l'Histoire comme de celles de la Nature conduit à l'enfermement mental, toujours plus loin de la réalité. Ce n'est pas tant un "donneur de leçons" – qui peut, utilement, être remplacé par un "montreur de leçons" – qui importe. Infos ? La mauvaise volonté alliée à la mauvaise foi de qui crépite contre les soi-disant "donneurs de leçons" puisque, une fois de plus, c'est juste une manipulation de mots pour demeurer, rigidement, HORS du changement. Une fois de mieux, c'est l'utilisateur de ce vocable dénaturé qui se voit disqualifié, déshonoré. Puisque vive le "montreur de leçons" ! Bravo ! Nous avons toujours besoin de savoir recevoir des "leçons". Il y a tant à apprendre. Tous les jours et de tout le monde. Le meilleur programme d'un monde "global" reste de partager les expériences (…) (…) Les mots peuvent donc annuler le capitalisme. Le capitalisme peut être aboli par les mots. Le capitalisme est donc bien une mentalité, comme de la fumée. Juste une mentalité et rien d'autre. Il n'a aucunes racines dans le réel et ce ne sera donc pas douloureux lorsqu'il sera aboli (pas de manque corporel). Nulle destruction n'est nécessaire pour l'éradiquer : usines et entreprises peuvent être gérées de façons radicalement autres, inutile donc d'en raser les bâtiments. A part les bourses qui seront définitivement fermées, pas de modification notable dans le visible actuel.
et pourquoi ne seraient-elles pas nôtres aussi bien ? quel est le sens de votre frénésie propriétaire ?). Résultats : ce que la Nature fait à la perfection, la technologie va dépenser des fortunes, en gaspillant des richesses qui viennent toutes de la Nature et qui ne sont jamais "créées" (quel délire une fois encore ! les richesses "créées" seraient donc extraterrestres ?) mais juste transformées pour aboutir à des résultats bien inférieurs, bien plus sommaires que l'existant naturel. L'inexcusable irrationnel du "maître et possesseur de la Nature", en viciant le fonctionnement de l'esprit, est parvenu à ce fanatisme enragé. Comme qui croit tout savoir et refuse toute leçon, l'économitechnologie "ignore" (refuse de connaître, dédaigne, méprise, regarde exprès ailleurs) les immenses sagesses de la Nature. Le système naturel de filtration des eaux, le stockage du carbone par les forêts, la prévention de l'érosion et des inondations par la végétation, la pollinisation des plantes par les insectes et les oiseaux etc etc.– demeurent d'insurpassables "serviteurs de la vie" mais – irrationnellement - ne servent même pas de modèles de respect "durable" des équilibres (respect "durable" plus crédible que le développement puisque moins utilisable dans des sommets d'hypocrisies!). A nous donc de secouer l'irrationnel des dangereux délirants de l'économitechnologie : ils ne sont absolument pas sérieux, pas sérieux absolument. (…) le profit, nihiliste illusion. Au niveau "global", en effet, le profit n'existe pas. Comme le disait, excellemment MONTAIGNE "tout gain se fait toujours au détriment de quelqu'un". Dans un monde fini, dans une masse monétaire finie, il n'y a pas de "création de richesses". Elles sont déjà là! Judicieusement, Thomas PIKETTY a étudié la "création de richesses" de la Bourse. Résultats : 0,10 % en un siècle. La Bourse ne crée pas de richesse mais vit en parasite sur l'économie réelle. 95 % de son "activité" (sic), d'ailleurs, est de la délinquance pure, puisque ce n'est que de la spéculation. Il serait très raisonnable de se passer donc du système boursier. L'incohérence complète qui se dit "médias" détecte (quel magma d'anarchies et d'impossibilités logiques que ces arrogants médias qui refusent de rendre des comptes!) la baisse de la création de richesses dans, osent-ils, un "ordre" décroissant, serait due aux "prix élevés de l'énergie et des matières premières", ce qui, déjà, est une aberration : pétrole ou matières "premières" ("premières" dans la nécessité absolue alors que l'homme serait matière secondaire ou tertiaire il faut le savoir!) sont des richesses réelles, les perdre en les consumant c'est "détruire de la richesse" non la créer. En plus oser y coller un prix c'est partir dans le délire (…) Le profit est donc un concept entièrement puéril qui doit masquer et "ignorer" les 9/10 de la réalité pour se "croire" réel. Votre "profit" est toujours payé par quelqu'un d'autre. C'est donc la notion la moins sérieuse qui soit. Aucun adulte digne de ce nom ne peut plus tolérer cette folie furieuse nommée "loi du profit" – ce n'est pas une "loi" et le profit est la plus grande des stupidités indigne de figurer dans un programme politique. (…) la consommation n'est pas une croissance. Aussi, faire de la consommation "le principal" moteur de la croissance" est-il un signe évident de détérioration mentale. Encore, une faute politique qui oblige à "démissionner" les irresponsables qui en usent. Puisque le tragique inexcusable de la "croissance" c'est qu'elle est devenue l'outil automatique, dépersonnalisé, robotifié, hors toutes discussions, mais avec le maximum de déresponsabilisation. De là provient la détermination du taux de tout revenu (salaires, allocations et seuils divers etc etc), taux livrés aux atopiques délires de la "croissance". La consommation est une diminution, une destruction des matières et richesses premières de la Terre, elle est le contraire d'une croissance. Au point que sa "croissance" proliférante est un danger pour la survie de la planète et de la vie. (…) Compétition cum avec, qui participe de, pétition, la plainte, la râlerie sempiternelle, le bal des pleureuses, les gémissements ou les doléances qui vous destinez à qui ? Ne serait-ce une transcendance, un arbitre extérieur qui ne participe pas à la mêlée : bref l'aveu d'un échec complet pour qui bramait le tout immanence, la résolution complète par l'horizontalité du tout le monde également informé et la magie régressive "de la main invisible" qui sait tout, qui ordonne tout. Bref le fiasco complet. Compétition met en miette le fonctionnement même de la compétition. Il n'y a nulle main invisible que les mains sales de la malhonnêteté, incapable de se débrouiller-elles mêmes, mais toujours à s'élancer vers un grand extérieur, une forte transcendance qui doit, sans cesse, réparer les dégâts causés par l'inextricable mêlée, l'indénouable écheveau appelé compétition. Cet échec flagrant de l'économie capitaliste (de se profiler compétitif), le comble du chaos et du désordre, ou bien le comble du tout inefficace, qui, partout, provoque des catastrophes dominos, sert de pub pour sa dissolution. Ensuite, nous avons été vérifier (ce n'est qu'un mythe tout à fait bidon) "l'efficacité" du privé. Cela donne (…) Gagner de l'argent reste l'attitude puérile, irresponsable, irréfléchie et ne pouvant se passer de l'expérience et de la sagesse des autres (pour réparer ses dégâts), donc se plaçant bien, ontologiquement et pratiquement, en dessous – avouant que ce n'est qu'un jeu pas du tout sérieux que l'argent. Un parasitisme incessant. Dépenser le capital de la vie et de la planète n'est pas du tout un jeu : c'est du sérieux ! Qui s'acharne donc dans les délires destructeurs ? " Le comportement rationnel peut également dicter à des élites repliées dans leur sphère des décisions nuisibles au reste de la société à l'écart de laquelle elles se maintiennent" (Jared DIAMOND – "Effondrement – comment les sociétés décident de leur disparition où de leur survie" – Gallimard 2006 - ibid. p 492, où toute personne, attentive et sans préjugés, pourra y ajouter bien d'autres pour notre édification collective. (Fichier interactif "le privé ne peut diriger le monde") Mais quel est ce comportement rationnel ? (...) on veut ignorer un mauvais statu quo parce qu'il résulte de l'application de valeurs auxquelles on tient profondément. La realpolitik, politique réelle (la politique de gouvernement) devient donc la politique irréelle (la politique d'antigouvernement). "La persistance dans l'erreur", "le raidissement", "le refus de tirer les conclusions qui s'imposent à partir de signes négatifs", "l'immobilisme", "la stagnation mentale" sont quelques symptômes de "l'effet de ruine" : entièrement dû à l'entêtement à abandonner une politique dans laquelle il a été beaucoup investi. Nous savons désormais que les élites vivent à l'écart des conséquences de leurs actions. Un seul exemple suffira-t-il ? "Derrière ce type de privatisation, il y a la confirmation erronée que l'élite ne peut pas être affectée par les problèmes de société qui l'entourent." (Ibid. p 577) Une vraie pensée de fou !!! Résumons-nous : le problème mondial actuel le plus dangereux est devenu la mentalité obsolète de tous les dirigeants. Ces dirigeants ont, massivement, perdu tout sens des réalités. (…) Ce qui est décrit, ici, c'est la tendance structurelle du privé à l'incapacité à "globaliser", à traverser les vraies synthèses. Non ses possibles réussites. "Une question qui sera récurrente dans cet ouvrage, lorsque nous tenterons de comprendre pourquoi des groupes dans une société donnée commettent des actes dont ils savent qu'ils auront des conséquences néfastes pour l'ensemble de la société. " (p 51) Ici, ce sont les compagnies minières qui ne procèdent pas au nettoyage des sites, après exploitation, comme elles s'y sont engagées. Pour se faire, elles n'usent que des arguments irresponsables que nous avons tous déminés dans la première partie. Après l'émission de ces arguments bidons "dans les deux cas, soit le site minier et sa région en aval restent toxiques, mettant ainsi en danger la population, soit le gouvernement fédéral paie pour le nettoyage" (…) p 51. Quant aux fauteurs de trouble, aux dangereux troublions sociaux ils déclarent leur société en faillite, dissimulent même leurs actifs et se reportent sur d'autres sites. Tout recommence donc comme si de rien n'était. (…) 90 % des travaux d'aménagement urbain ont un résultat contraire aux objectifs. Encore, au-dessus de 1,6 million d'habitants dans une ville, les coûts de tous travaux d'aménagement urbain deviennent exponentiels. Les leçons seraient de ne vivre que dans des villes moyennes et d'éviter, au maximum, toutes les conurbations et les mégapoles. Seuls les plus pauvres et les moins instruits doivent "apprendre" : quelle nuisible aberration !!! L'entêtement sournois, qui caractérise les fanatismes refusant toute remise en question, fleurit alors. Les délires du Privé entraînent à, trop souvent, faire l'inverse du raisonnable. Le "coût global" (qui dévalorise les…"profits"(sic) ) se voyant toujours reporté derrière l'horizon. Ainsi, reste-t-il plus qu'anormal, que ce soient, principalement, des écologistes qui se préoccupent des conséquences des activités humaines, du gaspillage des ressources ou des limites RATIONNELLES de la croissance. "C'est pas leur boulot", dirait la voix du bon sens. Anormal et preuve de l'irresponsabilité collective du Privé. Rien de sérieux à attendre d'eux sinon les cataclysmes à la chaîne. (…)le privé inverse dangereusement les priorités (protéger la vie et la planète reste plus urgent que son enrichissement SANS ISSUE). Il ne renvoie du réel que de trompeuses apparences : un compte en banque impressionnant peut cacher un cash flow négatif, un industriel qui apporte des "profits" peut avoir un coût masqué (coût en capitaux, forêts et sols) très déficitaire, son "enrichissement" personnel n'est pas une preuve que la Société marche bien. Le simplisme généralisé qu'apporte le Privé détruit les capacités de raisonnement, l'esprit critique, la juste estimation des équilibres : il réduit dangereusement le front du futur collectif. Il détruit la cohésion sociale : la notion de réussite est faussée, elle ne permet aucune comparaison réaliste et met à sac l'essentielle valeur "d'honnêteté" (qui a encore "confiance" dans les banques, les commerces et les médias ? Or sans confiance pas de vie sociale possible !). (…) Le privé reste non réceptif aux besoins collectifs. Métaphoriquement, c'est comme l'habitant d'une cabane assez haut dans la montagne qui a plusieurs activités, tannage des peaux, minerais, papier etc. A chaque fois il déverse ses eaux usées dans la rivière. Comme il est pêcheur, il descend, parfois, plus bas : mais tous les poissons sont morts et il crie contre l'inconscient qui ne voit pas plus loin que le bout de sa cabane. Encore, nous avons parcouru les médias comme des organismes absolument malades . Voici les perles du diagnostic … Rien ne changera jamais. Proférée par qui veut se montrer simple, si réaliste, cette phrase, tout au contraire, devient signe de sa furieuse mégalomanie. N'a-t-il pas une connaissance panoramique et omnisciente du passé du monde, il connaît aussi bien tout le présent, et, en plus, montre avoir un don de divination sans limite, plus puissant même que tout divin. Qui use de malhonnêteté intellectuelle, pour refuser les conversations (premier pas vers une démocratie "participative" (sic)), se voit toujours rattrapé par un gigantesque ridicule. Résultats : nous savons tout sur lui, lui qui cherchait à vous rabaisser ou à trouver l'endroit où faire mal, se voit encerclé par les nausées qu'il inspire. Rien ne changera jamais : nous sommes sûrs qu'il fera tout pour. Tout pour que rien ne change. Beurk ! Une fois de mieux : toujours aucune information sur nous. Les journalistes se voient aussi disqualifiés et sources d'homériques rires à scruter leur vocable. + les infos. Ce qui a mis la puce à l'oreille ? C'est leur monopolisation du droit à classifier certaines parties de la Société comme "corporatistes". Et pas d'autres : quels manques de persistance dans la méthode – leurs infos biaisées "ne valent rien" et s'ils mentent sur ça ne mentent-ils pas sur tout ? Car quoi de plus "corporatistes" que les journalistes, les médias, les financiers, les banquiers, les stars ou les politiciens ? Vous connaissez le comble du corporatisme : c'est d'augmenter unilatéralement de 170 % son salaire tout en prêchant l'immobilisme financier pour les autres en sécrétant toute une législation. Résultats ? Si des présidents prennent (revenus et patrimoines) autant que 1 million de bénéficiaires du RSA, sûr que la part de ceux-ci va se racornir. Budget public = une masse finie, donc budget privé =…Ce sont bien eux les vrais "corporatistes" : ils refusent tout le réel changement de la démocratie décentralisée. (…) A vous de contraindre les médias à ne plus dire "grogne sociale" – arrière pensée, une meute vociférante et incapable de dire quoi que ce soit de sensé - au lieu de "mobilisation sociale" pour des revendications justes et bien structurées qu'il faut, absolument, entendre. "L'image" adressée au "bon destinataire" montre, alors, ces journalistes (ceux-là, pas tous!) comme meute de chiens mécontents et aboyant bien trop fort après le "droit de grève" noble et bien légal, au lieu de "usagers pris en otages" – donc kidnapping, donc grève = délit. Encore, au lieu de "progrès""dérèglements du capitalisme", "guerres immondes et injustifiables" au lieu de "frappes chirurgicales" ou le barbare "guerres propres", "assassinats inexcusables de civils" au lieu de "dégâts collatéraux","résistant" au lieu de "subversif" puisque n'est subversif que le capitalisme entièrement PARASITAIRE, "licenciement abusif" au lieu de "dégraissage" etc.- en rappelant bien le glissement d'Amérique latine où "drogadictos" (addictifs) s'est vu délogé pour "desechables" (déchets, détritus – qu'on peut donc si "facilement" "nettoyer" ou faire assassiner par l'extrême droite ?), "bureaucratie inerte et pesante du capitalisme parasitaire"au lieu de "management"…etc etc (…) Tu es en avance. Trop en avance. Pourquoi ne survient-il pas, dans un cerveau qui assène de tels précipices, que pour pouvoir l'affirmer, il faille, au moins, avoir une omnisciente vision de tout le panoptique historique. Il faut tout savoir sur tout. Bref, pour pouvoir, honnêtement, dire à quelqu'un qu'elle/il est en avance (trop en avance!) il faut être encore plus en avance. Et même englober les différentes façons d'être en avance. Et alors pourquoi vous reprocher ce qu'il fait en pire ? De quoi ne pas pouvoir éviter "d'assumer" un peu de ce que vous "assumez" réellement (du fait d'être crédité d'être en avance : ce qui ressemblerait, bizarrement, à un lourd handicap retardataire!!!). C'est bien juste un "interrupteur de conversation" (un "discréditeur de la parole émancipante"!), qui ne correspond à rien, tel ce regard qui accommode sur le vide. Mais qui implique une attitude en surplomb qui se voudrait inaccessible, une mégalomanie sans limites : bref, le complexe de "la personne simple, sans culture, qui se veut les pieds sur terre" et qui se révèle "compliquée, évaporée, absolument tordue d'abstractions et d'un orgueil caché gigantesque"…Comment mieux le ressentir encore sinon en symétrisant ? S'il était vrai que vous fussiez "en avance" cela déduit que d'autres serait "en retard". Vous ne pouvez faire exprès d'être en avance mais arborer "en retard" dénote une tendance à la mauvaise volonté, à l'inertie douillette etc. Voulant vous discréditer (dans l'inversion générale qu'est la régression capitaliste, toute qualité devient un défaut!), par effets de réverbérations et de ricochets, c'est la servitude volontaire qui se voit aspergée de tous les ridicules. La perle de ces régressions infantiles revient à Mme Dominique Voynet avec son "avoir raison tout seul et en avance c'est avoir tort". Le corollaire (la seconde moitié de l'image, la complétude du réel) c'est "avoir tort tout le temps et en masse c'est avoir raison". Voilà qui annule tout l'héritage mondial des arts et des sciences, tout l'héritage des Lumières et de 1789, toute la valeur progressiste de la vérité etc. etc. N'est-ce pas beaucoup pour une seule personne gavée de mauvaise foi ? Enfin (pour une fois) les "solutions" ne constituent pas 3 pages à la fin d'un livre ( preuve de non pensée!) mais, ici, plus du tiers du volume. Pourtant, comme il semble qu'il faille parcourir le reste du livre avant que ces "solutions" soient le plus productives possibles , nous ne vous en donnons que 3 extraits … (…) Le nouveau paradigme irradie comme de REDUIRE les activités humaines au maximum, de les limiter aux normes restreintes de l'économie des besoins. C'est l'avenir de la planète qui décide. L'argent fait l'objet des méfiances les plus vigilantes (il se déguise en sérieux mais reste bien l'objet social le plus frivole et irresponsable qui soit). Le travail, à fort potentiel polluant, n'est plus structurateur de la civilisation vu qu'il faut le réduire, le diminuer au maximum, la paix sociale advient par le revenu d'existence et l'économie des besoins, le maximum de la vie sociale se voit donc structuré par l'apprentissage personnel et collectif de la préservation de la vie et de la Nature, les buts collectifs changent du tout au tout…etc etc. (…) êtes-vous vecteurs d'aliénations ? Si vous n'avez pu accéder, aisément et joyeusement, au III-1 et IV-3- , c'est que, sans doute, vous êtes vecteur d'aliénation. Le refus rigide des leçons de l'Histoire comme de celles de la Nature conduit à l'enfermement mental, toujours plus loin de la réalité. Ce n'est pas tant un "donneur de leçons" – qui peut, utilement, être remplacé par un "montreur de leçons" – qui importe. Infos ? La mauvaise volonté alliée à la mauvaise foi de qui crépite contre les soi-disant "donneurs de leçons" puisque, une fois de plus, c'est juste une manipulation de mots pour demeurer, rigidement, HORS du changement. Une fois de mieux, c'est l'utilisateur de ce vocable dénaturé qui se voit disqualifié, déshonoré. Puisque vive le "montreur de leçons" ! Bravo ! Nous avons toujours besoin de savoir recevoir des "leçons". Il y a tant à apprendre. Tous les jours et de tout le monde. Le meilleur programme d'un monde "global" reste de partager les expériences (…) (…) Les mots peuvent donc annuler le capitalisme. Le capitalisme peut être aboli par les mots. Le capitalisme est donc bien une mentalité, comme de la fumée. Juste une mentalité et rien d'autre. Il n'a aucunes racines dans le réel et ce ne sera donc pas douloureux lorsqu'il sera aboli (pas de manque corporel). Nulle destruction n'est nécessaire pour l'éradiquer : usines et entreprises peuvent être gérées de façons radicalement autres, inutile donc d'en raser les bâtiments. A part les bourses qui seront définitivement fermées, pas de modification notable dans le visible actuel
all secrets of economy as a diamond can only do |
format PDF |
40 pages
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Deep economy, money, universe, true climate changings(car's gas kill in your garage so they are fatal), mentalities hidden in behaviours, houses, conscious grasp & flash, directions, rarity & scarcity, giants, growth
Transversal work which looking for the roots of the concepts, you can join Eric Fromm, David Bohm, Majid Rahnema, Jean Claude Ameisen, Karl Pribram, Alain Corbin, Jean Michel Oughourlian, Annick Le Guérec, Catherine de Silguy, Kacem Medhi Belcacem, Jacques Ninio, Georges Darien, Stanley Dedibrako, Blaise Cendrars (sur 44 261)- waiting for the germs.
Ces pages ont été "scannées" - c'est à dire numerisées à partir d'un texte tapé à la machine à écrire - leurs qualités sont moindres.
Ceci n'enlève rien au serieux du travail de l'écriture.
Sent your resentment - or the hidden face of crises
Something that materialism – and i work in progress in that side too – refuse to know is: civilizations are made of desires, wills, thoughts, loves and mentalities of human beings. The "system" cannot be only "the" system: we cannot only (as puppets) be manipulated by objects and matter. Without mentality no way of life. This book (with strange humour – coming from future?) shows and proves that crises are geometrical. Hidden face of crisis: the best! Other word to draw that true human being builds this geometry. They build the crises, as something to help us learning. One of the deepest mysteries! The crises are built by few of us. Who? How? Those very clever and with golden hearts that you give yourself the right to persecute. Unfairly. While you think they suffer they use all your badness, , cruelty, selfishness to draw, into Society, the lines of crisis. Martial arts belong to psychology definitely – 70 % of Economy, hey stupid! come from psychology. So you are trapped exactly by yourselves. Because you are so unkind easiest to build crises. How some of us succeed: you must read all that to get it. Everybody receive his own …Sense of humour, you said, humour of sense feedback reality…Your denials and denials are going to torture you more and more, without anybody cause it. In the end: you discover you always were on the wrong side of everything!!! We must inform: you are supposed to live a success story. Us no. So…
Comment des êtres ont réussi a imploser le capitalisme ? Puisqu'il ne s'agit rien de moins que d'y faire ressentir comment le capitalisme a été "déséquilibré" par, disons, des créations d'ambiances successives, et a atteint l'effondrement que l'on connaît. La sécheresse abstraite des médias ne permet, en aucune façon, de vivre, charnellement, la réalité des "crises" actuelles (…) On ne dit pas impunément que la vérité n'existe pas ( comme les nihilistes du Monde), qu'il ne faut avoir confiance en personne – puisque trahison, 13 ici, 13 là, 13 partout ( comme les médias pour FORCER les gens à s'enfermer et regarder les télés ), que vive seul l'individualisme ( dont le versant sombre devient "il me reste – dans mon indifférence affective et sociale – qu'à arnaquer tous les autres", donc les subprimes ) ou bien "fabriquer" de toute pièce "l'insécurité – sans que cela n'affectât la psychologie profonde de tout un chacun. Admettez , alors, que l'ambiance délétère susurrée, diffusée en permanence autour de la "trahison" ai eu un impact global et AILLEURS que sur la personne destinataire. Sans leurs diffamations pas de krach 2008 : allez-vous, enfin, l'admettre ?.
Mais qui, habilement, a su "deviner" leurs pensées et actes secrets, les a "contraints" ( par le plaisir sans soucis qu'ils avaient à l'humilier, à le persécuter, à mentir sans cesse sur lui…etc etc ) à "créer" l'ambiance PSYCHOLOGIQUE propre à "déséquilibrer" (version art martial!) le capitalisme? Qui ?. L'humour de la "justice" c'est que, croyant lui "nuire" ( diffamations etc), ils n'ont nui qu'à eux-mêmes !!! Ca nous fait un bon goût dans la bouche pour très longtemps. Ainsi donc, le cauchemar qu'ils voulaient fuir ou éloigner (ne jamais voir les conséquences de leurs actes) c'est bien EUX-MÊMES qui l'ont propulsé de toute pièce : ils auraient laissé libre circulation des œuvres écrivaines, rien de "l'effondrement" ( plus précis que krach!) de septembre-octobre 2008 ne serait "arrivé"… Les monstres pervers ont perverti les ambiances partout, ont pourri les atmosphères, ont intoxiqué et crispé la majorité des citoyens sur des concepts inutiles : ils ont élaboré le "cadre" de la "crise". Se montrant à très très courte pensée. Les preuves cinglent toutes, aujourd'hui, que personne ne serait à la hauteur de la crise sauf quelques vrais penseurs et "vrais" écrivains" qui ne "participaient" pas, justement à "l'ambiance" – les pouvoirs politiques entament une course en avant que tout laisse présager sans conscience des devenirs futurs de leurs décisions bâclées (puisque où est la théorie ? depuis Einstein nous connaissons l'importance de la théorie! Alors où est-elle lorsque le capitalisme s'avère, implacablement, non réformable : soit nous l'abolissons, soit il "reviendra" toujours pire! ), quant aux médias ils ne se situent plus du tout dans la réalité . Car, enfin, le fiasco de la finance est total : cela remet en cause tous les fondements politiques et sociaux. Cela devrait bousculer toute entière la structure sociale : plus un seul calcul n'est pertinent, les comptabilités ne veulent plus rien dire. La béance de l'idiotie financière (impossible de les voir autrement qu'hébétés, de complets handicapés, de réels assistés, incapables – par effondrement mental, toute intelligence les ayant quitté – de répondre du moindre de leurs actes, de la plus simple de leurs décisions passées ). De cela nulle trace dans UN SEUL média : pire que la honte ! (…) Malgré un appel à "où trouver encore du sérieux ?", aucun média, oui aucun, ne se montre toujours vraiment sérieux. L'effondrement du capitalisme demeure toujours inexpliqué. Nous qui sommes, aussi, spécialistes des livres, nous pouvons vous dire que c'est comme si nous stationnions toujours au chapitre premier. Cela n'a aucun sens, ça ne tient pas la route - tous leurs articles pêchent de n'être que de fragiles monologues. Ah oui ? Tous les commentaires, pourtant, s'échinaient à ne nous présenter les "marchés boursiers" que dans un total nimbage psychologique (affilié à l'irrationnel ). Mais, lors des descriptifs de la chronologie de l'effondrement capitaliste, nous ne trouvons plus qu'un collier de faits isolés, sans liens praticables entre eux (d'abord, les subprimes, ensuite, etc). Plus de trace de psychologie. Tous ces commentaires se sont donc vus appropriés par leur nom même : les comment taire l'essentiel… En effet, nous voici avec un capitalisme prétendu triomphant, sans rien d'opposable, paraît-il. Pourtant, l'écroulement s'avère gigantesque et "rattachable" à un seul "trop petit fait". Alors la causalité tangue : les subprimes, cela ne tient pas debout. Il n'y a que des trous dans les soi-disant éclaircissements(…) Ce livre va donc rechercher la genèse de l'implosion La chance est toujours du côté des vrais chercheurs ( jamais de celui des faux critiques ) (…) La structure monstrueuse a pu se profiler sous plusieurs aspects, que, temporairement, nous nommerons"l'esprit colonial" ( faillite de la possibilité de civilisation), "l'esprit d'inquisition" ( faillite de toute possible religion), "l'esprit de terreur" ( faillite de toute pratique politique vérifiée démocratique) ou –pour résumer- "l'esprit fascisant" ( faillite de toute culture émancipante). Or, il surgit que la nocivité de toutes ces formes mentales se trouve concentrée dans les esprits pervers actuels (…) Partout, où l'occident a débarqué, il a, systémiquement, volé, pillé, menti, trahi, violé, tué, spolié, tout en se maintenant dans le discours schizophrène "ce sont des sauvages ! des arriérés! des primitifs ! des non civilisés !". Le regard objectif ou éloigné, ne voit, pourtant, dans ces actes que sauvageries injustifiables et inaptitudes irréversibles à la civilisation et dans les prétendus "arriérés" des victimes (bien à plaindre!) de cette folie perverse (…)Dans un autre ouvrage, nous avions résumé ce double mouvement pervers en " le pré-jugé ne sert qu'à tout s'ad-juger."(…) La civilisation occidentale s'est, partout, présentée, dès l'abord, comme une anti-civilisation (...) qui refuse "tout avocat de la défense" (…) Pour cet escroc-qui-n'est-que-spectateur, il ne sert à rien de dénoncer les dérives dangereuses du capitalisme. Il faut juste, miraculeusement ( avec toute sa malhonnête inertie à traîner! ), réparer tous les dégâts. Volonté de ne pas savoir. Comment pourrait-on réparer sans les citoyen-ne-s ? Comment le changement pourrait-il exister sans que lui-même ne change ? Simplement, ce que cet abject spectateur ( et encore le mot reste faible! ) "oublie" c'est que des êtres courageux, depuis des décennies, essaient de faire connaître, pour l'économie réelle, les dangers du capitalisme parasitaire. Avec comme premier acte sanitaire de fermer toutes les bourses. Croyez-vous que ce fou pérorant d'aujourd'hui écoutait alors ? Pas du tout ! "Oubliant" ( volonté de ne pas savoir) que, si les sages conseils des pionniers de l'anticapitalisme avaient été écoutés, aucune crise des subprimes, aucune crise du crédit, aucune crise de confiance interbancaire etc. ne seraient survenues (…) Une des tares majeures du capitalisme est qu'il ne répare jamais lui-même les dégâts incommensurables qu'il commet. Pas de "destruction créatrice" que de la "destruction" tout court : ce pourquoi le capitalisme (toujours parasitaire) reste si dangereux pour l'avenir de la planète(…). Vous vous exonérez trop facilement de ce que vous seul avez massivement tort, vous seul avez un comportement illégitime et pire qu'inadmissible et de ce que vous seul devriez supporter le poids de votre déchéance. Une volée de bois vert ! (…) ce droit à séquestrer la subjectivité des autres, à leur apposer une étiquette-pierre-tombale, et à augmenter l'intoxication jusque ce que l'ex-citoyen admette être ce qu'il n'est pas (…) La concentration du mal est désormais telle chez eux que les mots leur "échappent". Oui vous avez bien lu les mots de plus en plus les "trahissent". Nous allons tout savoir sur eux et eux, enfermés dans leurs délires pervers ( coupés de tout feedback donc de tout travail sur soi ou de travail par le réel dit, aussi, thérapie artistique) – toujours moins sur nous. Le but demeure de courber leurs griffes de méchancetés insistantes, qu'ils n'atteignent plus personne d'autre qu'eux-mêmes : le regard objectif reste étonné de sentir "à distance" le nid de haines et d'iniquités qui siège et sévit dans l'anti-civilisée Paris. (…) En plus de "l'horreur économique", "l'horreur culturelle" : qu'est-ce à dire ? Ils se sont accordés tous les droits sur la chair humaine : cela dépasse même l'esclavage, cela surpasse même de marquer au fer rouge votre propriété sur la peau de l'humain. Paris suinte des mains crochues de la propriété : les monstres veulent parler à votre place, décider sans vous, vous réduire à l'état d'une coquille vide, dire qui vous êtes ou n'êtes pas sans que vous ayez le moindre droit de corriger leurs mensonges puisque tout reste en sens unique, sans droit de réponse, sans avocat de la défense, sans rien d'autre que la hure de la tyrannie. Ils renomment sans cesse votre renommée. Cela dépasse toutes les horreurs passées, leur transformation de l'homme en bétail, leur suppression bestiale de la citoyenneté. Cette violence n'est pas douce : leur non-démocratie fuse d'une multiplication de "violences symboliques" très douloureuses et trop blessantes. La persuasion y est clandestinement terroriste. Le monstre parisien croit tout DETENIR : est-ce pourquoi son visage ressemble à une porte de prison ? est-ce pourquoi il séquestre la démocratie avec préméditation : aucun autre lieu n'a le droit au débat ( normal! pas "d'indépendants"( sic) hors la capitale qui "détourne" tous les mots, en croyant que cela ne "se verrait pas" ) Nous plaindre c'est du ressentiment devient, du tac au tac, je ne me plains pas, nous ne nous plaignons pas, je suis-nous sommes seulement complètement scandalisé-s par vos comportements, desquels je ne me plains pas mais que je veux-nous voulons éradiquer, annihiler, désamorcer, amener en cure de désintoxication. Nous n'avons donc aucun ressentiment. Aucune jalousie pour cette ville au retentissant échec. Juste des doléances et une soif inoxydable de justices. Votre verbiage puéril (dans les mots, le pervers se fait toujours avoir par le regard éloigné!) de plaindre et ressentiment m'est inaudible et je n'admets pas non plus votre perte hideuse de dignité. J'avance avec des doléances (dol, le constat du mal effroyable qui a été fait) pour restaurer la démocratie(…) Dès l'aube du dialogue TOUT SE REMET A L'ENDROIT : comme je n'ai aucun ressentiment c'est vous qui déraillez. Votre folie est publique. Le monologue c'est la moitié de l'image cachée. Les multilogues ( dialogues partout) montrent cette partie dissimulée et furtive de l'image : ça n'apporte qu'une lame de fond de répulsion envers les pervers parisiens. Le fonctionnement banal et quotidien du monstre pervers jaillit banquise d'indifférence aux autres, inaptitude irréversible à l'empathie, perte de toutes assises morale et affective, fonction intellectuelle réduite à des mécanismes viraux et incapacité aux raisonnements, aux feedbacks, toujours en pleine"décalage communicationnel", dénuclée qu'il serait de tout accès au réel, par sa rébellion nihiliste, par exemple, contre la vérité. Son iatrogène étrangeté de départ : "c'est la vérité qui est cause de tous les malheurs du monde", avec sa structure obsessionnelle de trier les faits (et exclure, a priori, la majorité de ceux-ci qui "ne collent pas" - "dissonance cognitive"qu'ils ont) qui l'habitue A SE CACHER LE MAXIMUM DE CHOSES. Je ne veux pas le savoir est sa phrase clé, qui signe bien sa furie anti-culturelle (tout savoir, toute connaissance peuvent mettre en péril le pervers!) (…)"le capitaliste est celui qui ne paye jamais rien" (ce sont les autres "par la privatisation des bénéfices et la nationalisation des pertes" qui paient toujours et encore ) - masque qu'il ne regarde jamais à une seule dépense : les mots !!! Oui, pour les mots le capitaliste dépense sans compter. Cela éclaircit bien qu'il survit par propagandes, désinformations, d'un côté, mais de l'autre, ce sont diffamations et désamorçages (écarter les autres d'une personne, du désir de la/le rencontrer, les dissuader de lire les livres, d'accéder aux expériences, d'entrer en communication, détourner sur sa personnalité "entièrement et furtivement fabriquée" où tout est bidon - mais ça ressemble à un film - l'attention qui devrait se porter sur ses raisonnements…etc). Or diffamer "en grand" coûte horriblement cher – c'est pas pour les pauvres -, de plus, c'est une œuvre à plein temps (il faut réalimenter!), c'est sujet aux irruptions du bon sens etc : bref, nous décelons bien la présence d'une perversion. D'une obsession tordue ( et longueur de temps)….. Dans ce contexte…. Il semble opportun d'aborder leur pièce maîtresse : y'aurait trahison. Mais comme ils sont plus subtils que ce qui vous subtilise, comme ils sont l'intelligence incarnée –ils l'ont détecté à temps, et, depuis, avec infinie serviabilité, gratuitement et sans engagement de votre part, ils continuent de diffuser cette information. Qui semble la SEULE information dominante depuis les années 1980. Quoiqu'il arrive (faits sur faits, écrits sur écrits, raisons sur raisons, causes sur causes etc), mécaniquement et robotiquement, tombe l'info y'aurait trahison. Bon, ne serait-ce l'étrangeté du dispositif, ce fait ne serait pas notable dans un livre : puisque voici les pouvoirs (tels que résumés) s'avérer d'une obligeance sans limites, ils renseignent et renseignent la population. Le danger le plus grand que court le peuple serait une "trahison". Vraiment ? Sur ce quart de siècle il y a eu des milliards d'euros de gaspillés (gaspillés puisque pas un mot de vrai!) pour asperger les milieux éditoriaux, journalistiques, culturels, musicaux ou associatifs - pour abréger (ça en fait du monde !) : que de temps pour trouver les "relais" pour que ça irradie au monde entier que (…) Alors que des problèmes gigantesques demeurent en jachère (…) Donc il "trahirait" tout le monde en ne trahissant jamais. Ce ne peut être, structurellement, que les autres qui le trahiraient. Le regard éloigné ne perçoit en tout cela que cris, pleurs et plaintes : pourquoi ne nous "adores"-tu pas ? pourquoi ne clames-tu pas que notre style de vie est le meilleur ? que nos œuvres t'enchantent ? pourquoi "n'es-tu pas avec nous" ? Tout le monde "nous appartient" nous n'admettons pas que tu puisses être heureux en dehors de nous! D'ailleurs c'est juste pour nous "embêter" que t'es "trop" heureux …agaga et autres chutes dans l'infantilisme le plus ahuri. Bref – sa "trahison" (sic) c'est de ne jamais trahir…!!! En âge de déchéance capitaliste où il faut, sans cesse, trahir la dernière mode pour se vautrer dans la suivante, où il faut retourner la veste des discours opportunistes pour marteler, hier, le tout-libéral et aujourd'hui le non-libéral (mais sans les solutions alternatives ce discours ne sert à rien, donc vous divaguez non au capitalisme mais, en vrai, ça aboutit toujours plus à oui oui au tout capitaliste. Capice ?). Dans cette collective déchéance, ne pas être un "consommateur" semble bien une "trahison". Ah bon ! Puisqu'ils le disent! Pour nous, c'est de la bonne insubordination!!! De la noble résistance (…) Donc vous êtes garrottés, bâillonnés, immobilisés – les pervers vous veulent enclaves d'esclaves – toute volonté va vous être ôtée, tout pouvoir d'intervention et d'individuation "interdit" ( eh oui!), toute personnalité niée et on vous martèle que le SEUL crime à leurs yeux malades c'est de REPONDRE (de ne pas se laisser faire, dépouiller, disqualifier, trahir et diffamer, sans rien dire : ça ne ferait pas trop ?) . Tout le reste demeure "légal" – la corruption morale et mentale puent à 1000 km : une des infamies des années 2003-2008 ne sera-t-elle pas survenue comme "dépénaliser les délits financiers"? Quoi, quoi? Tout ce qu'il ne fallait pas faire ils l'ont fait. Toutes les conneries à éviter, ils s'y sont précipités. Maintenant, illégitimement, ils concentrent le feu de "leurs" critiques sur les "spéculateurs" alors que ce sont les pouvoirs politiques, coagulés aux médiatiques, qui ont transformés les financiers en spéculateurs et les banquiers en braqueurs (…) Dépénaliser les "affaires" c'est ouvrir la porte aux paradis fiscaux, aux parachutes dorés, aux stocks options, aux délires bancaires, à la nocivité boursière – pour résumer . Normal que cette stupidité abasourdie ait été utilisée à fond. Donc qui a planté tous les ingrédients de la crise ? Les furieux politiques et les irresponsables médias ! Les "spéculateurs" n'ont profité que de leurs inexcusables laxismes. Si les censures irréalistes n'avaient pas existées, sans doute qu'il n'y aurait pas eu de tornade financière (…) Les "délits économiques", oui, oui ? Voilà qui, sociologiquement, représente en valeur 90 % du coût pour le pays de la délinquance en vrai et on "les exonèrent" pour une sous-sous-délinquance qui "coûte" à peine 10%, en valeur, à la Société mais qui remplit ses prisons. Quelle incohérence méthodologique. Les pervers parisiens font-ils exprès de ne jamais poursuivre les vrais "responsables" ? Comme, dans "stranger in a strange land", Robert Heinlein l'exposait si bien (p 398), la tragédie économique ou financière actuelle trouve bien sa source "dans le code lui-même et non dans un défaut d'obéissance à celui-ci". Y'a pas à plus réguler, ça ne changera rien sur le fond! Le fiasco des financiers qui prouve, à rabord, leur incompétence radicale (ils ont tout à (ré)apprendre!) aboutit à : un pays entier se voit dévalisé pour payer les erreurs, de ces ex-financiers. C'est le scandale du XXIème siècle : l'argent collectif est volé pour subvenir aux plus gangstérisés et incompétents de ses membres(…) (…)le slogan complètement pervers du "les promesses n'engagent que qui les écoute" oblige tous les vrais citoyens à hurler de toutes leurs forces quand parle un homme politique pour ne jamais "entendre ses promesses" – ne les entendant pas, vous ne pouvez "les écouter" – donc vous ne serez plus "engagés" par les mensonges-promesses d'un autre "autorisé ( par qui? ) à toujours mentir sur votre dos". Vous vous rendez compte l'ampleur des dégâts commis par ces "ennemis de la société" planqués dans les médias et la politique et qui n'ont même pas la dignité de démissionner!!! Dérives Il ne peut plus, d'ailleurs, y avoir de braquage de banques : les braqueurs sont tous déjà à l'intérieur. Désormais, ce sont les banquiers qui dévalisent les banques. L'erreur MONSTRUEUSE des banques c'est de n'avoir eu confiance que dans le minuscule microcosme financier "le seul à qui on ne puisse jamais faire confiance", c'est d'avoir totalement exclu la population de leurs graves délires argentifères. Vous voyez ils ne pourrons "partager" la responsabilité : d'avoir "cru" dans les Bourses. Ils ne sont pas "avec" leurs déposants, mais sans être, symétriquement, "contre" ils "ne sont pas ( pas encore ?) du même monde". Cette perverse erreur prouve, juridiquement ( pour qui voudrait les entraîner aux procès! ), leur immaturité sociale et juridique ( c'est du pénal non de l'administratif! Leur "erreur" était préméditée et bien avec "claire intention d'escroquer" ). Ce ne sont plus "nos" banques ( partage des mêmes "intérêts"!) mais "leurs" banques ( nous sommes exclus de leurs immatures réunions! ). Pour des décennies les gens vont se méfier des banques : c'est malin, très réussi. Comme dans les années 1930 : revoyez la "vraie"histoire, pas les permanents mensonges des médias (que ça en devient pléonasmatique – dites "média" vous obtenez "mensonge" !) pendant combien d'années après les peuples ont persisté à se méfier des banques ? Et, sans cette perte de confiance, les fascismes auraient-ils été possible ?
Try psychology - you gonna see |
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35 pages
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Clinical psychology, obstetrics, therapy, industrial sociology, kitch, the proach reproach, plain the complain, explain or complain, plainness & plaintiff plaintive
All the books of here are completely original and new from their birth. So no inspire by ancient or actual others writers or thinkers. But we function with admiration, wonder, esteem, emotion, approbation, marvel, consent or respect – therefore, we offer quotations of some names. Many voices announce that economy is quite only psychology: but, after saying it, who does integrate this in his everyday life? We probably! Let us hope! Evoke, so, Richard Rorty, Tu Wei Ming, Philippe Squarzoni, Gérard Morgal, Joseph E. Stiglitz, Cornelius Castoriadis, Thomas Piketty Jürgen Habermas, Emmanuel Todd, Paul R. Levitt, Philippe Norel, Robert Axelrod, Christophe Bourseiller, Robert E. Howard, Julia Blackburn, freakonomics de Stephen D. Levitt et Stephen J. Dubner or the "econoclasts" (on 17 134). Let have us a look on "echoes" heading!
Ces pages ont été "scannées" - c'est à dire numerisées à partir d'un texte tapé à la machine à écrire - leurs qualités sont moindres.
Ceci n'enlève rien au serieux du travail de l'écriture.
Assert to assent
(first step towards humanity peace)
Any war is a monster that devastates human's hearts and minds from so long time, too long time. How to do to find peace ? The dawn of a solution is to divide the problem in two :
First, an anthropology of the armies (yes, exactly as the occidentals are not ashamed to do ethnology and anthropology of others civilizations) offer the outside point of view (that don't take part in) and do not forget even one element of the armies bubbles and, at the very same time, make us cross all the taboos about them.
Second, to grasp the conscience that solutions to any war stay into the structure of the language itself and that certains ways of using words create the affective, moral and material conditions of peace of humanity. Peace : something to learn to be IN !
Invited to this double trip, you will find the possibility of saying yes(acquiesce-nce for the all accountry) or no (disown-er of your lego ego) when you decide it.
Mais alors ne fleurit-il pas plus incroyable de pouvoir dire que l’adversaire est celui qui se trouve auprès de ce qui verse et renverse, à force de tourner et se retourner contre ce qui point ne converse. L’ADVERSE c’est celui qui refuse de CONVERSER, tout simplement. Pour qui nous perd dans les détails afin de fuir toute conversation (et nous conversions de nos conversions !!!) il nous faut abréger en ce Monologue masqué de catalogue (du haut en bas des discours) afin que l’épilogue-monologue demeure bien la diatribe des tribus et autre tribunal unidimensionnel. Dia-logue c’est, à travers le risque, le traverser : dialoguer c’est courir le risque d’être changé par l’autre, avançait René Char. Plus encore la con-versation trône toute en transmutation, transformation, conversion... Con-verser verse vers l’Autre : devenir l’Autre ! Retourner vers son origine à lui. Dans le Monologue dictatorial de la guerre (de chacune ou chacun) l’adversaire en controverse reste ce Monologue même : il devient alors clair que celui qui viendra à l’ad-verse verser tout ceci sera sur place tué pour que tout cela reste tu. Si tu tues c’est pour que tout reste tu : compris ? Tu tues pour que tout ce qui titillerait ta conscience reste tu : ainsi tout semble rester à toi, et le reste tu peux faire semblant de le posséder.(…)
Dé, dés, dis, la guerre use, principalement, de préfixes PRIVATIFS. Elle ôte, enlève, soustrait : bref, elle nous diminue, amoindrit râpetisse. – rien de très enthousiasmant. Car oui tout de recommencer, de se répéter en l’ultime mission de l’émission jamais diffusée, de celles qui iraient de l’intérieur vers le plus extérieur, de façon à faire que cet extérieur soit ton habitable intérieur, mais ton intérieur, ta vie intérieure si tu daignes t’intéresser à ce mot, ayant tout été tapissée des agrès d’agressivité, de tous les culs de sac des mots de la guerre – sûr que ton but s’achèvera en ce qui rebute le plus, et il te faudra de nouveau buter tous ceux qui s’opposent à cet impossible but : le Pouvoir. Oui tout se répète une dernière fois pour que vous vous rendiez compte plus manifestement encore de ce mécanisme, toujours le même que la guerre remonte... Détruire (de destruere le préfixe de- signifiant le contraire de struere, assembler, construire, ce qui empêche d’in-struire, fait obstruction à l’instruction : point étonnant donc que les militaires soient plutôt anticulture !) : détruire fuit tout ce qui fait construire, dans/en : instruire !!! Le trait du retrait s’étant donc lié aux impayées traites de la retraite, nous visualisons comment fuir, partir, ré-partir cette honte de l’un, et, d’enfin douter de redouter qu’à, ainsi, se plier dans la poche de ses raisons sèches l’on ne se replie définitivement sur soi même (protectionnisme solipsiste !). Ou d’y plier car cela ne se tranche qu’en se retranchant dans les tranchantes tranchées. Qu’entende votre entendement !
LA GUERRE A, SANS EXCEPTION,
TOUJOURS ÉTÉ UNE HORREUR SANS NOM
Toute guerre détruit trois générations. Cette horrible blessure empêche toute une génération de laisser vivre ses enfants qui, eux, n’ont pas connu cette blessure, pour qui cette histoire n’existe pas. Et ne doit pas exister. Plus les deux générations qui ont vécu cette guerre et qui assènent : « Tais-toi, tu n’as pas fait la guerre. Tu parleras quand tu auras fait la guerre ! » Trois générations de détruites. Horrible chose qu’une guerre qui, des dizaines d’années après, continue de la même façon à se perpétuer en empêchant, par exemple, que la paix soit apaisée. Quand la guerre 39-45 va finir ? Sûrement pas demain. L’omission de cette réalité empêche toute réelle solution à la Religion armée. D’avoir seulement cherché la mission de cette émission (en livres, revues, journaux... etc.) vous aurait permis de donner à vos enfants l’épargne d’épargner ce souvenir qui, en vous si refoulé, ne vous permet même pas de voir à quel point vous les re-fouliez, fouliez aux pieds, eux vos enfants. Il n’est possible que de vous montrez à quel point vous avez empêché que ne pousse le dru avenir spirituel de la Terre, à ainsi tout repousser, mais c’est repousser horizontalement les forces adverses qui existaient, normalement il y a plus de cinquante ans. Plus aujourd’hui. Pourtant la réalité qui englobe TOUT le champ de bataille, et que la majorité fuit, révèle bien que ce sont vos enfants que vous repoussiez, refouliez en terre. Pas vos souvenirs. Interdits de pousser verticalement, de prendre de la hauteur. Oui c’est d’y parer (non de s’en parer), partout, ce qu’il y a à ré-parer, sur ce champ taillé par la bataille, qui rendra à la vie de vos enfants le droit d’être vivable. Vivantes quoi. (…)
MINISTÈRE DE L’ATTAQUE
Ministère de la Défense ! Et pourquoi pas Ministère de l’Attaque ? Cela impliquerait contre qui ? La réponse risque de sonner trop claire, chaque soi-disant pays ayant la même noix d’esprit. Si, dans chaque soi-disant pays, le ministère des armées s’appelait ministère de l’Attaque, il serait plus facile d’entrebâiller qu’il pourrait s’agir des gens de son propre pays tout bonnement. Alors le mauvais rôle, voyez-vous le mauvais rôle. Par contre, ministère de la Défense c’est déjà plus victimatoire. Victimatoire, n’est-ce pas cet « angélisme » contre lequel il s’agit de lutter ? Vous comprenez, les « règles du jeu » n’existent que pour les autres. Mais la Défense cela n’aboutit-il pas qu’à elle même, un chat qui se mord la queue ? Une tautologie solipsiste ? La trace du Monologue absolutiste ? Voilà de quoi nous remettre d’attaque... (…)
Absolument TOUS les concepts brandis pour justifier toutes les guerres sont revisités ici.
UNE AUTRE LECTURE SELON ROBERT REICH : LA MONDIALISATION ARCHI MINOTAIRE !
Ce monde, tel qu’à nous décrit, mais tel que nous le ressentons semble n’avoir aucun sens. Voici un État que l’on peut qualifier de « débiteur structurel » du reste du monde : les U.S.A ! Un État pour lequel personne ne produit jamais d’analyse concrète. Sinon cela donnerait :
un déficit commercial vertigineux
une dette intérieure explosive.
La structure de ces deux éléments joints se lit : sans cesse, depuis une quinzaine d’années, les U.S.A accélèrent ce parasitisme arrogant, ils doivent de plus en plus au reste du monde, et ont le culot de faire croire l’inverse. Sans le reste du monde, ils ne peuvent, d’ailleurs, plus vivre. Le drame c’est que leur principal débiteur (le Japon), faute du paiement des dettes par les U.S.A, s’enfonce dans la récession. D’autre part, à l’intérieur, les ménages américains agissent de même, et s’endettent au point que, pour les achats d’actions ils font des crédits. Le très dangereux problème reste la nature de cet endettement. Contrairement aux idées reçues (presque toujours fausses !) les. U.S.A ne sont pas le pays de la libre entreprise (voir toutes les analyses du Nobel G.K. GALBRAITH !) : si ; du côté administratif, il y a largesse de mouvement, la dictature effroyable des actionnaires réduit cette liberté à rien. Ce qui provoque un fait très grave : il y a chute de la PRODUCTION DURABLE. Aveuglés par le seul « ratio de rentabilité » (l’enrichissement par dette augmente le chiffre d’affaires car il n’y a pas d’augmentation des coûts salariaux), les actionnaires interdisent tout développement raisonnable, tout projet pluriannuel du fait que l’investissement des premières années ne permet pas de rentabilité immédiate. La prolongation de cette mentalité de razzieurs va aboutir à la perte de tout substrat solide de l’économie réelle. Les U.S.A sont dominés par des flambeurs qui planent hors de toute réalité : totalement incompétents (fonds mutuels ou fonds de pensions – à ce sujet voir de Jacques NIKONOFF le très éclairant « La comédie des fonds de pension - une faillite intellectuelle » chez Arléa), ces fanatiques provoquent que toutes les industries nouvelles soient abandonnées aux étrangers, soit par importations soit par implantations aux U.S.A.Les conséquences masquées de cet aveuglement demeurent :
toujours moins d’emprunteurs solvables
risques de faillites en chaîne des petits actionnaires
bulle spéculative alimentée par des emprunts absolument improductifs
nombre de consommateurs allant toujours diminuant (trop bas salaires), l’effondrement de la demande locale, puis mondiale est en cours.
Nous avons tous les ingrédients d’un effondrement complet. Toute l’Économie se voit livrée aux mains d’individus incapables de comprendre la notion « d’intérêt collectif » ou de la mettre en pratique. D’individus régressifs, fermés à tout sauf à leur profit irréaliste (détruire l’économie réelle c’est empêcher toute forme de profit !) que, dans d’autres temps, l’on nommait « parasites ».</div>
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tags & references
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Innovative. Non–violence catches too many misunderstandings: despite the fact that it is a so strong exercise of reason and sensuality never describe. If you decide to begin in it, try Gandhi, Siddharta or Lanza del Vasto. Read the talks of Constantin Von Barloewen, Vladimir Boukovsky, but do not avoid Nicolas Skrotzky, Daniel Sibony, François Missen or Philippe Delmas – the better stays to thwart the complete quest inscribe in this book of foundation.